ADULTE-ERE
Suite à un précédent post, je m'entretenais de la qualité des masturbations féminines et masculines.
Voilà trouvé sur un site web, une explication qui me réjouit. Les jeux érotiques de cette libertine ne devraient en être que plus fréquents :
« Chez les hommes, la fréquence de la masturbation est inversement liée à la présence de rapports sexuels génitaux. Chez les femmes, la masturbation est au contraire plus fréquente chez celles qui ont des rapports sexuels.
La masturbation joue donc un rôle de substitut à la sexualité relationnelle chez les hommes, rôle qu'elle n'a pas chez les femmes. Pour elles, la sexualité relationnelle stimule plutôt la pratique masturbatoire.
Ainsi, on peut en déduire, semble-t-il, que la masturbation masculine est plus liée à la tension sexuelle d'impulsion, compensatoire du manque de relations sexuelles de couple. Alors que la sexualité féminine serait plus une masturbation d'entraînement liée à un plus haut niveau d'excitation sexuelle général. Cela pourrait aussi expliquer la différence de découverte et de fréquence de pratique de l'auto-érotisme. »
Un bon sujet pour le concours d'Adulte-Ere
C'est vrai que chez moi la masturbation ne se fait pas par manque de sex. Je me carresse et l'envie me prend d'aller plus loin, c'est le scénario que je créé grâce à mon imagination qui fait que le plaisir arrive. Quelques fois je me dis je vais me masturber, je mets les doigts dans ma chatte mais ça ne vient pas. C'est très complexe, il ne faut pas que d'autres idées brouille la montée du plaisir. Voilà ma modeste contribution sur le sujet mais je ne suis pas scientifique alors je pense qu'il faut se laisser aller et ressentir des choses. Parfois la jouissance est très forte, quelques fois elle l'est moins. La masturbation à quatre mains est bien aussi. Bises Lapépéisa
Quand j’étais jeune et bien éduqué, j’ai eu comme beaucoup de français à confesser aux prêtres les pensées impures et les gestes obscènes que j’avais pu pratiquer. J’ai heureusement rapidement pris du champ… en me rendant compte dans un premier temps que la masturbation était un excellent anti-dépresseur, dans un second temps qu’il n’y avait aucun mal à se faire du bien, juste pour le plaisir…et puis, j’ai enfin appris à partager ce plaisir… au point de ne pas avoir besoin d’aller, quelques fois, jusqu’au coït… et ce sont des moments également plaisants.
