ADULTE-ERE

Je n’ai pas (encore) lu, mais j’ai entendu causer et comme cela fait écho à un de mes récents posts :

 

Du velu au lisse Pratique discrète, l'épilation génitale passe pour fort répandue aujourd'hui tant pour les femmes que pour les hommes. Présentée souvent comme une mode, elle possède des vocations multiples : identitaires, philosophiques, éthiques, religieuses, professionnelles. Dans cette étude très documentée et menée avec alacrité, Jean Da Silva restitue toute la complexité de ce fait de société en le situant dans la perspective d'une histoire qui remonte au début du XXème siècle, mais aussi bien au-delà. Il revient sur certains a priori concernant ce traitement particulier d'une zone corporelle intime et montre qu'il intéresse des mondes aussi divers que l'avant-garde artistique des années 1920, le naturisme d'après-guerre, les cultures méditerranéennes, le fondamentalisme islamiste, la sexualité récréative japonaise, la pornographique, la mode, l'art contemporain, les conduites exploratoires homo ou hétérosexuelle. Il s'attache aussi à l'hostilité que l'épilation pubienne ou axillaire a pu rencontrer. Cette approche, tant historique qu'esthétique, trace ainsi un chemin de traverse, inattendu et singulier, dans l'histoire récente de la sexualité et du rapport de la femme et de l'homme occidentaux à leur propre corps.

 

Editions Complexe

 

Je dois assumer mes contradictions. Je suis amateur de lèvres glabres ou de mottes finement taillées… et je porte, depuis longtemps la moustache (la franche, celle qui ne connait pas le ciseau, au mieux, une petite brosse en poil de sanglier). Ces derniers temps, ce n’était pas un avantage. Il semble que le poil revienne à la mode…. Alors « un baiser (un cunnilingus) sans moustache, est-ce vraiment comme un steak sans moutarde ou une merguez sans harissa ? »

Ven 24 jui 2009 2 commentaires
Peu importe les poils (ou non!)... pourvu qu'il y ait l'ivresse ! Sourire ... (du coin des lèvres bien sur!)
Titia d'or - le 28/07/2009 à 12h37
Libertin Libertaire
Une adorable femme me disait : "la problématique du cunnilingu avec un homme à moustache, c'est que cela fait velcro". Vous l'aurez compris, elle n'était point épilée.
TSM - le 19/08/2009 à 10h04
Je veux bien rester attaché quelques temps.
Libertin Libertaire