ADULTE-ERE
Les amateurs de vins de «soif » connaissent sans doute les vins de Chateauguay. Des vins de pays d’Auvergne, qui après une quasi disparition, sont revenus, joyeux, grâce à une nouvelle génération de vignerons qui ont repris les vignes et appris à soigner la vinification.
Mais Chateauguay, depuis juin 2009, n’est pas que son vignoble, c’est aussi une nouvelle boîte libertine, hammam-sauna, la journée, club, en soirée.
Les lecteurs assidus de ce blog connaissent mon moindre goût pour les saunas (essentiellement parce que je ne trouve les serviettes ou paréos très sexy), l’idée qu’une nouvelle boîte ne soit pas trop loin de ma campagne n’était pas sans me réjouir.
Encore fallait-il la trouver ?
J’ai du errer quelques minutes dans une nouvelle zone artisanale. De nuit, ce n’est pas bien grave, de jour, en arrière plans les coteaux, c’est supportable.
Il ne faut pas s’attacher à l’extérieur, un ancien atelier, format parallélépipédique, pas très heureux, cela manque de plantes ou d’arbres (avec le temps peut-être).
L’accueil est chaleureux, d’autant plus chaleureux que je rencontre rapidement un couple rencontré dans une autre boîte, quelques mois plus tôt, avec lequel j’avais eu quelques échanges, ce qui a grandement facilité mon intégration dans ce nouveau lieu.
Une brève visite, guidée par la jeune femme de ce couple : une large piste de danse, quelques salons coquins capables d’accueillir de nombreuses personnes, un mur à trou (sur lequel je fais quelques réserves, trois trous à hauteur de l’organe mais qui obligent les fellatrices à s’activer couchées dans la pièce à côté, quelques autres trous à hauteurs différentes, leur permettraient de s’activer à genoux ou debout, pour peu que ces messieurs puissent aussi se placer le long de la paroi) et l’espace balnéaire (sauna, hammam,…). Tout est beau, tout est neuf, tout respire la propreté d’autant plus que le décor est sobre.
Retour au bar où je n’ai qu’à me féliciter des relations avec le patron ou le personnel. Ils sont ouverts, accueillants, même (un peu) bavard. Sinon amicale, les relations sont spontanées. Si les clients français à l’exemple des belges pouvaient être aussi spontanés, tout serait bien dans le meilleur des mondes.
Un autre élément auquel je suis particulièrement sensible : l’écran géant ne diffuse pas des films pornographiques comme trop souvent, mais des films de danses érotiques ou de strip-tease. Un regret, les danseuses ne jouent que très peu le rôle de la lingerie et des accessoires comme dans les « Folies de Paris Hollywood » ou les films de « scopitone ». Pour ces clients et pour changer, de nombreux films bleus sont téléchargeables sur Internet. Leur diffusion serait une originalité de ce club.
Fidèle au fait que je ne décris jamais sur ce blog, ce qui s’est passé lors de mon passage dans ces clubs (mais ce sera fait dans la Communauté des « Mondes Libertins », quelques derniers mots sur ce qui à quoi je suis le plus attentif.
Mes hommages, via ce blog,
- A la jeune femme en see-through maillé blanc et à son ami (mes connaissances)
- A la jeune femme à la jupe noire fendue, stricte et bourgeoise (il ne lui manquait que le courrier de perle) mais fort jolie,
- A la jeune femme en jupe écossaise (raz le bonbon), si agréable à regarder danser,
- A la jeune femme à la petite robe noire érotique au décolleté plongeant
- A la jeune femme en longue robe noire moulante pleine de promesses,
- A la jeune femme en courte robe blanche lacée…
- et.. à leurs amis, bien entendu !
Vous avez illuminée ma soirée. Je reviendrais (comme disait Mac Arthur).
Ah, j’oubliais, le nom de ce club : « Les 5 sens »
« Les 5 sens » sont sur la carte des Mondes Libertins.