ADULTE-ERE
« Je suis trop fatigué », « je ne suis pas d’humeur », « j’ai mal à la tête », « je dois me lever tôt demain matin » et « je suis préoccupé par le boulot », tels sont, dans l’ordre, les cinq prétextes le plus souvent avancés par les britanniques pour ne pas faire l’amour.
Cherchant à mesure l’influence de la crise financière sur les performances au lit sur les sujets de sa gracieuse majesté, l’institut de sondage en ligne OnePool.com a sondé 4 000 adultes des deux sexes.
Bilan de cette enquête, sept personnes sur dix se disent trop épuisées pour apprécier la bagatelle en ce moment. Et six sur dix le reconnaissent sans détour, « oui », la crise à des effets sur leur activité sexuelle.
Ouf, c’est en Grand-Bretagne. Ici, quand j’entends le mot « crise », je me rassure avec le mot « sexe ».