ADULTE-ERE
Avant la légalisation de l'échangisme, 20 % des clients étaient simplement voyeurs tandis que les autres participaient pleinement aux jeux sexuels
Mais, Monsieur Jean Hamel de l'Association des échangistes du Québec, se désole :
" Victimes de leur popularité, les clubs échangistes attirent de plus en plus de voyeurs au détriment des adeptes qui désirent vraiment avoir des relations sexuelles en groupe… Aujourd'hui, c'est rendu à moitié-moitié ".
Résultats : " plusieurs adeptes de l'échangisme se sont tournés vers les maisons privées qui sont fréquentées par des «vrais échangistes»" et " "les clubs vont peut-être insister pour que les gens qui entrent acceptent de participer aux activités."
Comme quoi, institutionnaliser un phénomène de mœurs n'est peut-être pas la meilleure chose à faire