ADULTE-ERE
Un soir très tard, rue des Martyrs, à côté de la place Pigalle , un taxi que je prenais pour rentrer chez moi le propose de me conduire dans une boîte « où des bourgeoises s’envoyaient en l’air » (sic).
J’ai décliné l’invitation pensant qu’il pouvait s’agir de prostitution.
A posteriori, je pense qu’il ne faisait que draguer un « petit jeune » pour un lieu de plaisir libertin.
On n’est pas sérieux quand on a vingt ans car on ne sait pas toujours ce que l’on perd.
Lun 1 aoû 2005
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