ADULTE-ERE

Ne plus avoir de relations sexuelles sous l'effet de l'alcool alors que l'on sait qu'on le regrettera le lendemain

C'est le jour des crêpes et je connais une libertine bien décidée à en profiter sous tous les goûts : chocolat, nutella, chantilly et... crème fraiche.

Elles peuvent être aussi flambées, mais c'est le goût de la boisson qui perdure, pas les vapeurs évaporées.

 

En France, le coût des boissons en club est un frein à l'alcoolisme, en Belgique, l'open bar est la situation la plus fréquente, et pourtant, en quelques années de libertinage, je n'ai jamais vu de gens ivres, sauf récemment une femme malade, mais j'ai l'impression que c'était plus son état de santé qui était en cause que la quantité d'alcool qu'elle avait absorbé.

 

Finalement, le milieu libertin me semble plutôt sain. Une ou de coupes de champagne pour lever les inhibitions festives, pas le sexe, à priori, il n'en a pas besoin. Je goute un alcool un peu plus fort par habitude professionnel, mais jamais plus de deux verres.

 

Enfin comme homme « normal », comme libertin, je m'enorgueillis de n'avoir jamais fait boire une femme pour l'avoir. J'ai eu des amies qui tenaient bien l'alcool, d'autres qui ne pouvaient pas le voir en peinture. Je ne les ai jamais vu ivres.. ou alors, quand elles l'étaient, c'était dans un autre temps, je l'étais au moins autant qu'elles, sinon plus... et alors, là, elles ne risquaient vraiment rien de ma part, sinon dormir !

 

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Jeu 3 fév 2011 Aucun commentaire