« Le pastis, c'est comme les seins. Un c'est pas assez et trois c'est trop. »
Fernandel
Déjà 25 contacts potentiels sur mon app
J'ai eu l'occasion, en d'autres lieux, dans un débat publique même, d'annoncer que j'attendais une tablette efficace sous Androïd pour protester contre la politique restrictive en matière de liberté de moeurs d'Apple.
Me serais-je trompé ! J'avais jusqu'ici quelques applications un peu érotiques (signalées dans le blog : une anthologie de la littérature érotique, unsite de voyage coquin...) - et je ne dis rien des jeux coquins à mettre presque entre toutes les mais, mais entre la liseuse ou le carnet de voyage de luxe, rien qui ne justifiait l'usage d'un smartphone.
Sonar Swingers est la première vraie application web 2.0 pour smartphones que je rencontre (s'il y en a d'autres, merci de me les signaler) qui permet la mise en contact des libertins et des libertines sur la base desprofils qu'ils ont soumis, de visualiser, en temps réel, les personnes connectées, de les géolocaliser sur une Google Map et de « chatter » avec elles.
Sur le site : www.sonarswingers.com une présentation très simple des fonctionnalités de l'outil qu'il vaut mieux ne pas manquer car quelques réglages sont nécessaires dans les préférences de l'iphone... et c'est là que je l'ai découvert.
L'application qui semble nouvelle et ne compte encore que peu d'inscrits, est une application à valeur ajoutée qui vaut son prix : 5,99€ sur l'Applestore.
(libre de toute publicité, cette application me plait, tout simplement)
Quelques écrans
Profil | Chat | Géolocalisation |
Les libertin(e)s sont des personnes amusantes et passionnantes à fréquenter.
L'environnement des clubs libertins ou des rencontres privées libertine est libre et l'occasion de fêtes qui mettent en avant loisir et plaisir.
La traduction de ce texte d'origine US attire l'attention sur un faux ami : « free » qui signifie tout autant « libre » que « gratuit ». Levons tout de suite l'ambiguïté, le libertinage n'est pas totalement gratuit et il vaut mieux avoir les moyens de ses jeux.
A
utre curiosité, au nombre des fêtes libertines, le texte original évoque des pique-niques, des films, des dîners, des jeux de ballon... Le focus mis en France sur les sorties en club, puis les soirées privées devrait sans doute évoluer vers plus de diversité !
Faire l'amour et pas juste "baiser".
C'est la fin de la série et mon amie libertine a mangé des crêpes jusqu'à plus soif....
Pour cette résolution, je suis un peu gêné. Je ne « baise » pas, mais je ne fais pas l'amour non plus.
J'aime la fréquence de la polysémie dans la langue française. Mais « amour » bat pas mal de record, la preuve :atilf.atilf.fr
Alors, je me suis construit ma propre définition de l'amour. Un sujet de billet non ?
Mais une précision quand même, j'aime le camembert, le koto japonais, , marcher sous la pluie, mais je ne « fais pas le camembert », « je ne fais pas le koto », « je ne fais pas le marcher sous la pluie »...
Par contre, j'aime jouer aussi bien à des jeux qu'une pièce de théâtre ou un film
Alors :
« Voici quatre femmes de plus de 40 ans.. Et qui ose encore dire que c'est un "miracle" quand une femme de plus de 40 ans n'est ni moche ni vieille ??? »
A l'occasion d'un débat sur Facebook, quelques réflexions sur cette question.
Une amie m'a dit, et ce n'était pas n'importe quelle amie....
…. l'amie en question, est celle qui, il y a de nombreuses années s'est offerte ma virginité. Nous avions le même âge, mais elle était expérimentée et moi non. Les hasards de la vie et Internet, ont fait que nous nous sommes retrouvés bien des années plus tard. Le souvenir d'autres expériences communes nous ont rapproché de nouveau, mais notre temps d'échanges physiques était passé. Nous sommes passés au stade de l'amitié complice, celle où les secrets s'échangent.
Le premier secret qu'elle me livra fut la tendresse qu'elle conservait de son souvenir de cette nuit où je passais du statut de puceau à celui d'homme. Une surprise pour moi, les conditions de cette expérience, qui est décrite quelque part sur ce blog, n'ayant pas été très brillantes. Comme quoi, il faut parfois se méfier de ses souvenirs.
L'autre secret, j'en viens au fait de la femme « mûre » (j'utilise à dessein cet orthographe, je préfère le fruit aux connotations négatives qui entourent parfois la maturité), l'autre secret était que les « lolitas » n'étaient pas pour les hommes murs. Elle parlait en connaissance de cause, jouant à cette époque à la femme « cougar » et entretenant une relation qui devenait compliquée avec un garçon beaucoup plus jeune qu'elle.
Une séparation s'imposait, une séparation motivée par les circonstances de la vie plus qu'une rupture sentimentale... et sa rupture devenait conflictuelle.
J'ai conservé précieusement la thèse qu'elle a développé ce jour là. « Il est vrai que la jeunesse apporte sa fraîcheur, son dynamisme. Mais il est vrai aussi que ce dynamisme peut devenir rapidement un frein car les corps ne fonctionnent pas aux mêmes rythmes ». Autre élément, les projets de vie ne sont jamais les mêmes : je ne parlerai pas des questions des rapports d'argents entre quelqu'un qui a acquis une certaine stabilité et un ou une autre qui a sa carrière professionnelle devant lui – je ne parle pas d'entretien éventuel, mais du simple déséquilibre des moyens - . Mais une question se posera à un moment ou un autre, celle de la maternité ou celle de la paternité. Toutes les femmes jeunes n'ont pas vocation à être mère et je respecte le choix de celle qui ne souhaite pas avoir d'enfants.
Mais le plus grand nombre de jeunes femmes, pour des raisons physiologiques ou intellectuelles souhaiteront cette maternité. Et voilà des « barbons » en âge d'être grand-père avoir à assumer, quelques fois de nouveau, les joies de la paternité. Je ne parle pas seulement des contraintes des premiers mois, mais quelques secondes de plaisirs sont aussi des années de joie et, il faut bien le dire « d'emmerdements ». Je le sais pour l'avoir vécu, et la joie et les petits et gros problèmes de la gestions d'enfants, d'adolescents ou de jeunes adultes.
La réciproque est vraie, m'expliquait mon amie. La réponse plus difficile. Comment convaincre un amant enthousiaste que les cycles féminins ont une fin.
La « ménopause » a longtemps été le signe de la fin de la vie érotique des femmes. 40 ans, 50 ans et plus encore, la recherche médicale, une meilleure alimentation, un effort de démocratisation fait de la belle « couture », la glace et les produits de beauté de qualité, le sport..... ont révolutionné les corps des femmes « mûres ». La hausse globale du niveau d'éducation, la généralisation du travail féminin, un meilleur accès à la culture... ont révolutionné l'esprit des femmes « mûres ».
J'ai écouté mon amie... Et quand j'entends, d'une femme « mûre », que je suis « beau et intelligent » (la seconde proposition m'agréant spontanément, je n'en avais jamais douté. La première étant plus difficile à entendre, ayant pratiqué longtemps la dévalorisation, mais je commence à m'habituer (avec plaisir), je n'hésite plus... c'est à peine si je me tourne encore devant une belle et jeune fille dans la rue. En fin, à peine, mais je la vois s'éloigner sans regrets.
Arrêter de penser aux courses, aux factures ou au boulot... au coeur de l'action
Alors là, cela va être dur,, sinon carrément impossible
Même si elle est éloignée du libertinage, mon activité professionnelle m'oblige à confronter cette expérience à celle des « Mondes libertins » et, vice-versa, dans le libertinage, je reste aussi un observateur et un chroniquer;
Quand aux factures, privilège de l'âge, outre le fait que je ne suis pas un consommateur compulsif, j'ai, aujourd'hui, les moyens de mes jeux
… et cela ne m'a jamais posé problème... au coeur de l'action
Je n’ai pas pu résister à la tentation. Ma règle est de ne pas copier d’images de sites appartenant au « Rezo », mais là, le site "Sexe de femmes" n’étant plus mis à jour, je n’ai pas résisté à la tentation de détourner une belle image.
Extrait du « Catéchisme Libertin à l'usage des filles de joie et des jeunes demoiselles qui se décident à embrasser cette profession » de Théroigne de Méricourt, dite Lambertine qui naquit dans le pays de Liége en 1759; elle vint se fixer à Paris, où elle mena une vie fort déréglée; elle se jeta, au début de la Révolution, dans le parti exalté où, par sa grande beauté et son éloquence, elle acquit de l'influence sur l'esprit du peuple. Le 31 mai 1793, ayant voulu prendre la défense de Brissot, dans le jardin des Tuileries, elle fut saisie par les mégères qui l'avaient applaudie jusque là et fustigée publiquement. A la suite de cet outrage elle devint folle.
Litanies des filles de joie
Sainte Madeleine, patronne des garces, soyez-nous propice.
Sainte Messaline, l'exemple des fouteurs, protégez-nous.
Sainte Dolonne, dont le con brûlait d'ardeur, secondez nos efforts.
Sainte Julie, miroir des putains de Rome, donnez-nous votre chaleur.
Sainte Manon, modèle des impudiques, inspirez-nous votre lubricité.
Sainte Duthé, la volupté même, ne nous abandonnez point.
Bienheureuse duchesse de Berry, vous qui foutiez avec vos gardes, faites que nous en puissions faire autant.
Saintes Maintenon, Pompadour et Du Barry, consacrées aux pines royales, ayez pitié de nous.Saintes Sorel et Jeanne d'Arc, et vous charnelle Dorothée, dont les cons belliqueux auraient affronté
une armée de pines, donnez-nous votre courage.
Bienheureuse Héloïse, vous qui avez si peu goûté les joies du con, préservez-nous de votre malheur.
Toutes les Saintes Concubines des sultans et des rois, exaucez nos vœux.
Saint Joseph, patron des cocus, préservez-nous d'être cornettes.
Saint Saturnin et saint Conculix, pensez à nous.
Saint Salomon, roi des fouteurs, prenez-nous sous votre garde.
Saint Loth et ses dignes filles, souvenez-vous de nous.
Tous les saints maquereaux et bardaches, préservez-nous de votre colère.
Tous les sodomistes et les gamahucheurs, intercédez pour nous.
Saints branleurs et branleuses, donnez-nous la délicatesse du poignet.
Saintes maquerelles et avanceuses, jetez les yeux sur nous.
Toutes les filles d'opéra, danseurs et danseuses qui avez si bien gigoté et remué le croupion, donnez-nous votre élasticité.
Divin Girard, et vous illustre Cadière, mortifiez notre chair.
Tous les saints célibataires et coureurs de bordel, protégez nos taudions.
De tout enculeur, délivrez-nous.
De tout fouteur en bouche, préservez-nous.
De toute pine vérolée, garantissez-nous.
Des fouteurs impuissants, sauvez-nous.
Saint Priape, qui nous avez si bien instruits, nous vous prions.
Saint Arétin, qui réunissez à vous seul les qualités des deux autres, nous vous prions.
J'ai toujours pensé que l'érotisme avait joué un rôle important dans le développement des médias. Malheureusement, si l'on s'intéresse souvent au Thanatos, l'Eros est rarement objet d'étude.
Pourtant, le cinéma pornographique, diffusé à travers les bordels (alors légaux) a largement fait pour le développement du cinématographe en France et dans le monde, tout comme le film de X de Canal pour le câble ou les sites de rencontres pour le Minitel, puis pour l'Internet.
J'ai trouvé une petite merveille sur le net. Non que l'acteur de ce film soit particulièrement excitant mais parce qu'il s'agit d'un film intégral (pas quelques secondes), muet, bancs titres en français, qui a du connaître la diffusion dans les maisons closes.
Une perle rare :
J'ai dit le peu d'intérêt que j'avais aujourd'hui pour la prostitution.
Mais je ne peux m'empêcher de m'amuser à cet encart publicitaire trouvé sur le net
Juste un rêve, remplacer tous les chiffres par "Gratuit" et nous serons vraiment dans un monde libertin
Je n'aime pas non plus cette humidité, les gouttes d'eau, le contact des carreaux.
J'ai l'impression d'être à l'hôpital
Et puis, mes premiers contacts échangistes l'ont été dans un des hammams les plus crades de Paris. Je l'avais trouvé par hasard, j'y suis retourné quelques temps (du côté de
La "p’tit affaire" est rapide, la "p’tit affaire" est toujours trop rapide.
On se voulait braquemart triomphant et endurant, on se retrouve la quéquette molle et ridée, grasse d'un mélange de lubrifiant et de sperme. Et c'est tout juste si la "toilette" finale est comprise dans l'acte. "Je peux me nettoyer", "Bien sur, chéri". Ne m'appelle pas "chéri", ni avant, ni pendant, ni après. Mon prénom, si tu veux, juste pour cette couche d'intimité illusoire, mais pas plus… ni mots gentils, ni mots grossiers… le silence,
On se rhabille, maladroit, le slip, les chaussettes qu'on n'oublie jamais d'enlever (vieux souvenirs des images pornographiques hilarantes du siècle dernier), pantalon, chemise, veste.
Allez salut. Pas tout à fait, de nuit comme de jour, je me suis toujours efforcé, lorsque la fille sortait avec moi de l'accompagner jusqu'à l'entrée, sur
Quel plaisir tirer d'un rapport avec une prostituée :
La quête : moi, client, j'ai arpenté le trottoir autant sinon plus que mon hôtesse. Ne pas se tromper sur son choix, même si la prestation reste toujours la même et rêver : imaginer le corps sous les vêtements, tilter sur un bas noir haut perché ou la naissance d'une jarretelle, ne pas trop en voir (les nudistes en petites tenues, très peu). On ne compare pas les prix, on espère le meilleur rapport qualité/prix.
Le coup de queue : trop rapide, frustrant, pas de préliminaires pour celui qui leurs accorde plus d'importance, et pour lui, et pour sa partenaire. Le pompier bâclé, la minette estompée, la position déréglé, l'orgasme ignoré.
Sans traces : Pas de mémoire du rapport vénal… au plus auras-tu envie d'une bonne douche autant que la fille au turbin à la fin de sa journée. Pas d'histoire à raconter. Les filles que j'ai payé se compte sur les doigts des deux mains (et un petit peu plus). J'ai fini par comprendre, soulagé, que cela n'avait pas d'intérêt.
Au-delà de la morale petite-bourgeoise, je n'ai pas de jugement moral à porter sur cette profession. Tout au plus, au vu des changements actuels, majorités d'immigrées (maghrébines, africaines, de l'est), repoussées vers la zone inhumaine des voies rapides automobiles, pourchassées par les nouvelles lois sur le racolage… je me dis qu'elles ont raison de réclamer un statut de "travailleuses du sexe".
Ce statut leur permettrait de réintégrer les lieux de vie (Qui se souvient encore que Moyen-âge, les cathédrales figuraient parmi les principaux lieux de racolage ?). On fait de nos villes des lieux aseptisés : rendez nous la musique, rendez nous les filles, elles font parties du paysage. Qui dit statut, dit formation, pourquoi pas même, formation permanente. Je ne conteste pas leur expertise, mais elles auraient beaucoup à gagner à passer du vite-fait/bien fait au travail bien fini d'une court(art)isane.
Depuis cette courte période de ma vie, j'ai renoncé à l'amour tarifé… il y avait tellement d'autres pistes à explorer.
Fellation
La prostitution est une économie et la prostituée, en bonne travailleuse, est économe.
Seconde partie du rituel de la passe, la « pipe » est rapide et efficace. Malheur à l’éjaculateur précoce. Il risque entre des mains et dans une bouche experte de voir son temps de consommation considérablement réduit. Même si elle fait sa dégoûtée, la bouche pleine de foutre, elle pense déjà au client suivant. N’allez pas chercher des usages sophistiqués… vous voilà allongé sur le lit (douteux, mais pas toujours), et la demoiselle assises à vos côtés vous prodigue ses caresses buccales. Auriez vous pensé au petit supplément : le cul sur votre nez, vous lui broutez le con, pendant qu’elle s’active sur votre vit. 69 torride, que non, en quelques secondes, elle vous fait changer de position.
Positions
La prostitué sait reconstituer sa force de travail. Et à travailler debout, dans la rue, toute la journée, elle n’a qu’un rêve, se reposer sur le dos, les cuisses écartées, cela va sans dire. Je n’ai jamais aimé, je n’aimerai jamais la position dite « du missionnaire » (j’aurais à m’en expliquer).
[Re] supplément : le choix n’est pas très riche : elle croit vous faire plaisir avec la « levrette »… « la sodo, c’est XXX de plus ». J’aimais à avoir la femme à cheval sur moi, me faisant face. Les mains sont libres. Mais la prostitué n’aime pas trop les mains de ses clients… sont-elles trop baladeuses.
La prostitué est économe et efficace. La « petite affaire » est menée rondement. Si elle est raisonnable, c’est un préservatif baveux qui part en rejoindre d’autres dans
Il est temps de se rhabiller.
Spécialités
Ils ont disparu, les claques d’abattage de la rue de Sofia comme ont disparu les petits hôtels des immigrés maghrébins qui les alimentaient. Aux hôtels de passe, ils faisaient la queue jusque dans la rue (pas d’images disponibles, il faut cacher la misère) pour quelques secondes de misères sexuelles. Les petits hôtels avaient des restaurants avaient des couscous qui avaient du goût, et le mouton du gras.
Ma blonde n’a rien à faire à ces hôtels d’abattage. Mais ses escaliers sont aussi sordides. Elle monte devant. Ma blonde à la jupe de tailleur suffisamment longue pour que je ne vois pas sa culotte. Ma (je l’ai commandé) blonde, ne me laisse, en montant, que quelques visions de ses cuisse gainées et de son cul qui balance.
La chambre est moins sordide que l’escalier. Un lit « une place », une banquette, des posters pornographiques aux murs, un godemiché sur une armoire, un lavabo, un bidet…
« Tu me prends en levrette, c’est XXX de plus », « le 69, c’est XXX de plus », « tu m’encule, c’est XXX de plus ». On pourrait faire le tour du Kama-Sutra. Je n’ai jamais apprécié la position du missionnaire, trop fatigante, conventionnelle, tue l’amour. « Ok, je suis couché, tu t’assoie sur moi »…. « C’est XXX de plus ».
Et tu paye. En cash, pas de carte bleue, pas de carte vitale,… pourtant, ce sont d’excellentes auxiliaires médicales. Pas folles, néanmoins, tu payes d’avance. Pas de contestation possible. Dans les films, les clients posent les billets sur la table de nuit. J’ai toujours donné le salaire de la main à la main.
Petite toilette
« Enlève ton pantalon », en fait, « déshabille toi ». Peu importe que tu gardes tes chaussettes, ta chemise, l’essentiel est que tu te retrouves la queue en l’air au milieu de la chambre. « Viens, mon chéri, que je te fasse ta petite toilette ». Au risque de
Désolé, je suis d’un autre siècle. L’€ n’existait pas encore. Mes références pour le curieux n’ont aucun sens. Je suis encore en francs (et je n’ai pas d’avis sur la question).
« C’est 200 francs »
J’ai fini par trouver l’image de mon désir (le fantasme de l’époque). Ce n’est pas une chose. Elle est blonde, les cheveux frisés. Elle est grande et mince. Elle porte une tailleur (la bourgeoise), un petit peu trop court qui laisse deviner une jarretelle blanche. Elle pigeonne de la poitrine.
« C’est 200 francs, je suce »
Qu’elle suce, je m’en fous. C’est son image que j’achète… le tailleur, l’illusion d’un porte-jarretelles.
La transaction, ce n’est pas le fric. Le « client » choisit. La transaction, c’est l’offre.
Cette blonde, je l’ai suivi trois ou quatre fois. Pas de quoi devenir un client régulier.
D’autres ont été plus explicités.
« 300 francs et tu m’encule »
Pour 500 Francs, à côté de
Une tendresse, à posteriori, pour cette femme , plus très jeune qui, rue Quincampoix, il a prescription ( et le SIDA n’était pas là) m’a proposé, privilège de la jeunesse, une « fleur de rose » réciproque. Beaucoup d’années plus tard, je sens encore sa langue sur ma rondelle anale, j’ai encore le goût de la sienne sur la mienne de langue.
Amants, n’hésitez pas, l’anus est une zone érogène aussi importante que les autres, un petit coup de gant de toilette …
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