Le dernier billet date du 13 octobre 2014. Un bail !
Il arrive parfois que les évènements de la vie vous oblige à faire des pauses, courtes parfois (commer les vacances – qui devraient toujours bien porter leur nom) ou longues, longues, longues …
On dira simplement que, bien que libre de mes mouvements et de mes actes, j'étais dans une zone blanche (mais que font les opérateurs?) ou que mon ordinateur était en panne.
Qu'importe, on revient toujours à ses premiers amours (oups ! … à ses loisirs favoris).
Lentement, car il va falloir que je fasse un grand tour de ce blog pour m'assurer que j'en reprenne bien les thèmes à l'endroit où ils s'étaient arrêtés.
Merci pour la fidélité de tous ceux qui ont bien vouly continuer à me suivre pendant tout ce temps, merci à ceux qui ont bien voulu découvrir ces contenus, merci à ceux qui régulièrement m'ont envoyé de nouveaux commentaires... les statistiques du site sont curieusement restées bonnes au fil des mois.
Alors pour votre plaisir et pour le mien, en espérant plus de contacts et plus de commentaires,.... on retourne au taff.
Issu d'une conversation sur Facebook
Le jeu des dix livres m'a d'abord amusé. Puis, en relisant quelques réponses, je me suis dit qu'il y avait quelque chose de plus derrière ce questionnaire. Comme je suis un peu plus vieux qu'Olivier M. Chapeau, il m'a plu de comparer les ouvrages qui ont jalonnés mon éducation sexuelle du milieu des années 60 au début des années 70 et ma découverte des Mondes Libertins. On passera sur ceux qui ont structurés mes choix idéologiques et politiques (« Le Capital », « Le Gai savoir », « L'Introduction à la Psychanalyse » (et autres textes), « L'Homme Unidimensionnel », « L'Unique et sa propriété », « De la misère en milieu étudiant considérée sous ses aspects économique, politique, psychologique, sexuel et notamment intellectuel et de quelques moyens pour y remédier », « Apprenons à faire l’amour » de feu le docteur Jean Carpentier, récemment décédé.
J'en passe et des meilleurs.
Mais restons sur le thème du sexe et du libertinage :
1. « Cinémonde » - découverte à 12 ans d'une collection de cette revue dans un refuge de pêche que possédaient les parents d'un copain. Découverte qu'une femme avait d'autres choix pour s'habiller qu'une blouse à fleur. A nous la lingerie et les star(lette)s. Mais il fallait en tourner des pages !
2. « Les Folies de Paris-Hollywood » - l'avantage de faire plus vieux que mon âge et d'avoir découvert un « vieux »libraire complaisant (qui tenta quand même de me faire passer à la casserole dans des « tasses » publics... mais je courrais plus vite que lui.
3. « Health et Efficiency » et la litterature nudiste découverte en Grande-Bretagne (avec les « nudies », ces films pour les Gentelmen de Soho, alors qu'on m'envoyait étudier le grand-bretons et les petites anglaises. »
4. « Hara-Kiri » et «Charlie Mensuel » pratiquement dès les premiers numéros – auxquels il faudrait ajouter « Plexus » de Berger et Pauwels (qui, hélas, finira au Figaro Magazine)
5. Les œuvres complètes du Marquis de Sade dans l'édition de Jacques Pauvert « Justine », « Juliette, « Les 120 jours ». Je suis interne dans un lycée tout ce qu'il y a de public mais déjà se profilent les prémisses de mai 68. Erotisme rime avec militance politique pour « Le Bateau pour le Vietnam » et contre « Les Colonnels Grecs ».
6. « Histoire d'O » et « Emmanuelle ». Avec Sade, je dois remercier un de mes pions d'Internat, J.D., qui nourrit notre culture et fera que nous renoncerons assez rapidement à la petite masturbation rapide pour des pratiques beaucoup plus chaleureuses.
7. Les érotiques contemporains « Sexus », « Jours Tranquilles à Clichy », « L'Histoire de l'Oeil », « Le mort », « L'Astragale », « Sur la Route », « Vénus Erotica ».... j'en passe et des meilleurs, mais il faut bien que je tienne jusqu'à mon baccalauréat.
8. La littérature sous le manteau des images plus que du texte en général. J'arrive à Paris, Pompidou succède à De Gaulle. Je découvre les Partouzes dans un hôtel accueillant de Nogent-sur-Marne, les bougeoises faciles à l'invitation d'un chauffeur de Taxi et la révolution sexuelle dans certaines casernes de la gendarmerie. Vincennes est à Vincennes et la Révolution sexuelle en marche.
9. « Suck » - un journal en anglais publié en Hollande qui prône le sexe révolutionnaire, la libération sexuelle et que je ne trouve, qu'en sous main, dans une librairie du quartier de l'Ecole des Beaux-Arts. Giscard d'Estaing arrive au pouvoir. Le X devient à la mode.
10. Mon enfer s'élargit. Dernière découverte en date (comment l'avoir manqué puisqu'il aurait été écrit par l'auteur de « Bambi » : « Histoire d'une fille de Vienne racontée par elle-même ». De la misère et des réalités sexuelles en milieu ouvrier, je boucle avec les utopistes du début du billet.
Après un an et demi d'absence, ma veille technologique a beaucoup baissé en qualité. Il faut dire que je démarre doucement, histoire de retrouver le verbe.
Ainsi donc, je n'avais pas repéré le « Festival du film de fesses » qui se tenait du 25 juin au 1er juillet 2014 au cinéma Le nouveau Latina à Paris.
Le programme était intéressant, même passionnant puisqu'il m'aurait permis de revisiter ma jeunesse au début des années 1970 avec une rétrospective Jean-François Davy et la projection du film « Exhibition » en présence de l'auteur. Noté aussi, au milieu des autres œuvres proposées, un best of des films de cul du début du siècle dernier, de quoi exciter un passionné.
Dimanche après-midi, le temps est pluvieux sur Paris, les places sont bon marché, fête du cinéma oblige. Un aller/retour au cinéma et patatras, le festival n'a lieu que le soir à 20h00. J'ai loupé les premiers jours, j'ai d'autres obligations cette soirée de dimanche et je pars demain lundi pour quelques jours. Pas de Festival du cinéma de fesses pour moi cette année.
Au milieu des années 1970, le nouveau Latina portait un autre nom, c'était un cinéma d'art et d'essai. J'y ai vu de nombreux film dont « La montagne sacrée » de Jodorowski. Plus tard, il fut le premier cinéma a installer une boucle magnétique pour les malentendants.
On est loin des salles glauques de la Porte Saint Denis, de la Gare Saint Lazare, de la Place Clichy à la place Pigalle. Je suis sur que les sièges sont aujourd'hui confortables, en tous cas, pas poisseux. Mais j'ai la nostagie des doubles films, des mouvements furtifs dans les salles, des rues sans néons omniprésents, des chasseurs de strip-tease qui tentaient de vous fourguer des revues allemandes ou danoises sous le manteau. Une autre époque dont Jean-François Davy parle, dans cet interview, avec un délice que j'ai connu.
Ancien combattant, va !
Jean-François Davy et les débuts du hard
L'Apéro libertin d'octobre 2012 a eu lieu dans l'un des quelques milliers de cafés, brasseries, restaurants que compte la capitale. L'adresse n'est bien sûr pas secrète pour les participants, pas secrète non plus pour tous ceux qui sont cooptés sur un réseau social bien connu, mais pour la discrétion et le plaisir que les participants ont trouvé à cet endroit, nous la réserverons.
La vingtaine de personnes présentes (allez, pour la terminologie usuelle, les femmes, couples et hommes présents) représentaient des âges, des profils, des centres d'intérêts forts divers, mais le plaisir du libertinage au sens large du terme les réunissent régulièrement dans le virtuel et ils souhaitent concrétiser dans le réel, leur rencontre.
De l'apéritf au repas en commun, force Mojtos et boissons sans alcool (pour les plus raisonnables) délient les langues d'individualités qui l'ont naturellement fort déliée, leur langue.
Alors, des mérite de la Vénus Erotica d'Anaïs Nin, de l'intérêt du piercing lingual vibrant, des diverses manières d'utiliser le rosbud en passant (j'en oublie.....) par le thème de discussion « Libertinage vs BDSM », nous avons eu largement le temps d'aborder le repas pris en commun et quelques essais de jeux libertins.
L'expérience des « Apéritifs libertins », lancée par une amateur de chapeaux, prend peu à peu son sens. Le prochain est déjà programmé.
Peut-être pour la prochaine édition faudrait-il envisager un programme un peu plus structuré (mais ce n'est qu'une suggestion) : apéritif libre pour faire connaissance, repas autour d'un thème commun et une meilleure présentation des participants les uns aux autres (mais là ce n'est qu'une remarque de mon fait, j'ai la mémoire qui flanche de temps en temps:-) )
Le groupe ne demande qu'à s'étoffer. Mais mets quelques conditions à l'accueil de nouvelles et de nouveaux (un équilibre entre les genres et le sexes, un goût commun pour le libertinage au-delà de la banale sexualité de groupe, un peu de culture générale, de la curiosité et du savoir-(bien)-vivre.
On répondra à toutes les demandes d'informations supplémentaires faites en MP;
A ceux qui y furent, à ceux qui auraient pu (ou du) y être, à ceux qui pourraient rejoindre le groupe.
Une image pour ne pas effrayer un réseau social bien connu
Ce n'est jamais sans nostalgie que je remonte les boulevards de la Place Clichy à Barbès-Rochechouart.
Mais la nostalgie n'est plus ce qu'elle était, même s'il en reste quelques traces sur ce blog.
Mais à l'invitation d'un groupe libertin (de libertins et de libertines), j'ai refait le trottoir (le plus gratuitement du monde) pour y découvrir que les temps avaient encore changé.... des chalands beaucoup plus jeunes et surtout plus féminins, des sex-shops, souvent glauques, ayant laissé la place à des love-shops largement ouvertes sur la rue et des « table-danse » à la place de « live-shows » (quoi que les chasseurs soient toujours aussi collants et qu'ils ne cessent depuis tout ce temps de m'apostropher via ma pilosité sous nasale et naturelle : « Eh, Moustache !»)... Mais j'ai renoncé aux cabarets sordides depuis que le strip-tease a disparu.
En ce samedi soir, ce n'était pas moins d'une trentaine de personnes qui s'étaient données rendez-vous sur le trottoir de Pigalle et, circulation et difficultés aidant, n'ont pas hésitées à faire les « pots de fleurs » en attendant que tout le monde soit arrivé.
Monter jusqu'au septième ciel !
Je me garderai bien de vous faire la visite du Musée de l'Erotisme de Paris, pièce par pièce, objet par objet, du musée.Tout au plus, en quelques mots, vous confirmer mes centres d'intérêts : l'érotisme oriental (Chine, Japon), les gravures licencieuses du XVIIème, les « belles images » pornographiques en noir et blanc (fixes ou animées, mais il n'est pas facile, quand on suit un groupe, de prendre le temps de regarder la totalité d'un DVD). J'aurai aimé connaître les goûts de mes comparses, les rires, les cris, les commentaires étant suffisament nombreux pour me laisser penser que le spectacle ne leur était pas insensible. Questionné sur le réseau social bien connu dont il faut taire le nom, j’attends encore les réponse et ne désespére pas de les avair, même après quinze jours.
Si vous voulez en savoir plus, le musée ne déménage pas demain et, par expérience, d'autres musées dans le monde, ces collections valent le détour.
Un mystère non résolu
La publicité du Musée de l'Erotisme de Paris vous vante sept étages de polissonneries. Ce soir là, il me semble n'avoir parcouru que 5 étages, dont les deux derniers consacrés aux expositions temporaires (sujet que je n'aborderai qu'à peine : non que ces expositions soient inintéressantes, mais l'accumulation dans un même espace des œuvres d'un unique artiste est, pour moi, un bon moyen d'en occulter l'intérêt... me reste la mémoire d'une seule œuvre... au prix totalement inaccessible à ma bourse). Manquerait donc deux étages et, dans mon souvenir, quelques œuvres que je n'ai pas vu ! La publicité est-elle mensongère ou aurions nous oublié de visiter un ou deux étages, en cave, de l'immeuble. Faudra-t-il que j'y retourne pour m'en assurer ? Assurément.
Apéritif libertin
L'alibi (mais en fallait-il un) pour visiter le Musée de l'Erotisme parisien était la participation à un apéritif libertin inauguré sur le réseau social cité plus haut. A défaut d'apéritif et après la visite, force était de constater que nous étions en appétit. Un occasion d'échanger autour d'une table, ce qui est aussi, par essence, un acte libertin, surtout quand la parole est libre et qu'entre les conversations autour du sexe, s'échange aussi autour des réalités de la vie quotidienne, des opinions et des choix de vie.... Jusqu'à ce que l'appétit digestif s'impose de satisfaire celui d'autres sens. Mais Paris est riche en la matière.
J'aurai sans doute pu, en m'invitant, suivre un groupe.... mais cela n'entre pas dans mon éthique. Je préfère être invité. A défaut, je suis rentré soigner mon mal de gorge... Sachant qu'aucune personne des présents ne m'avaient contaminé (je connais la coupable!), j'en conclus que ce fut une bonne soirée.
De tous les gens présents, tous ne sont pas dans le carnet d'amis de ma page du réseau social sus-pas nommé. Mais amitiés à ceux et celles qui le sont, une invitation à me rencontrer sur le Net à ceux ou à celles qui ne le sont pas.
Merci à l'amie qui a bien voulu me signaler cette publicité. Toutes les contributions sont les bienvenus.
Il est des spots vidéos qui inspirent.
Femme découverte rend gai même le temps couvert
Salut à mes vingt ans !
Encore besoin de 80 réponses pour être efficace !
Nous fréquentons probablement tous, le week-end ou pendant les vacances, desdéballages, vide-greniers, brocantes diverses.
Nous avons tous fait le constat que ces manifestations sont pauvres en ce qui concerne tout ce que la morale traditionnelle réprouve. Cela s'explique facilement et – légitimement – par le caractère publique de ces manifestations.
Par contre, nous possédons tous dans nos armoires, nos caves, nos greniers, tout une série d'objets (du livre à la guêpière...) qui pour des raisons diverses ne nous ont plus d'utilité.
Les échanger, les vendre, les acheter, acquérir à moindre coût des choses parfois chères, ajouter des éléments à une collection, faire des découvertes, cela serait-il possible ?
Ce nouveau sondage pourrait nous donner quelques indications sur l'intérêt de telles manifestations dont les conditions de réalisation sont encore à définir.
Merci pour vos réponses
Manque 24 réponses pour avoir un échantillon parlant !
Seriez vous disposé à participer, de temps en temps, dans l'arrière salle privatisée d'une brasserie, par exemple, à la réunion d'un groupe équilibré (couples, femmes, hommes) à des échanges, dans le réel, sur les divers aspect du libertinage.
Pas de sexe, in situ, mais les rencontres libertines, selon affinités, seront bien entendu, les biens venues.
A propos du courriel : L'inscription d'un courriel n'est pas obligatoire. Si vous souhaitez être informé des suites de ce projet, il est le bienvenue. Mais pour des raisons éthiques (cf mon pseudo), il ne sera utilisé qu'à cette information et ne sera livré à personne d'autres (et certainement pas à des sites marchands).
Si vous vous trouvez bloqués dans la diffusion de vos réponses, ne paniquez pas, la version de ce questionnaire est actuellement limitée, en attendant la version « prémium » en fonction des réponses.
Sein, le mot vient du latin sinus, «courbure, sinuosité, pli », qui désignait notamment un pli de la toge recouvrant la poitrine. Son emploi au figuré l'a fait désigner la partie du corps correspondante.
L'aréole des seins est reliée par des nerfs au cerveau, en particulier au système de récompense. La stimulation des seins procure une récompense cérébrale qui incite la femme à renouveler les stimulations. C'est grâce au système de récompense que les mammifères femelles et les femmes, allaitent leur nouveau-né, et c'est également les récompenses qui sont à l'origine des stimulations sexuelles des seins
Le nombre de synonymes des seins est important : poitrine, rotoplos, doudounes, lolos, nénés , nibars, nichons, roberts, roploplos, rotoplots...
Les seins sont fascinants pour un homme, pas tant par la diversité de leurs tailles et de leurs formes, mais parce que ce caractère sexuel est à la fois public et privé.
Privé, il se cache sous les vêtements pour se découvrir dans l'intimité.
Public, il précède la femme, est mis en valeur par sa lingerie spécifique, se dévoile aux hasard des humeurs, d'un pli de la vallée à mammaire à la limite des auréoles.
En trois mots, les seins sont libertins.
Alors, juste pour le plaisir un tour du sein adulte, du 85A au 105F
85A
Seriez vous disposé à participer, de temps en temps, dans l'arrière salle privatisée d'une brasserie, par exemple, à la réunion d'un groupe équilibré (couples, femmes, hommes) à des échanges, dans le réel, sur les divers aspect du libertinage.
Pas de sexe, in situ, mais les rencontres libertines, selon affinités, seront bien entendu, les biens venues.
A propos du courriel : L'inscription d'un courriel n'est pas obligatoire. Si vous souhaitez être informé des suites de ce projet, il est le bienvenue. Mais pour des raisons éthiques (cf mon pseudo), il ne sera utilisé qu'à cette information et ne sera livré à personne d'autres (et certainement pas à des sites marchands).
Si vous vous trouvez bloqués dans la diffusion de vos réponses, ne paniquez pas, la version de ce questionnaire est actuellement limitée, en attendant la version « prémium » en fonction des réponses.
Je me garderai bien de faire une critique de Facebook, même si j'ai de bonnes raisons de m'inquiéter , pour en avoir fait l'expérience, sur la liberté qu'il régnerait sur ce réseau social. C'est une production U.S., il en exprime toutes les contradictions... mais ce serait une longue discussion.
Facebook peut être un outil passionnant.
Si vous vous pensez « vrais libertins » au sens du contenu de ce blog, je ne peux que vous inviter aux discussions et au échanges de cette page Facebook : www.facebook.com
Si vous êtes « touristes sexuels », « tièdes », « mauvais coucheurs », « curieux »... autant passer votre chemin, vous serez rapidement démasqués et impitoyablement ejectés.
Mais, Facebook n'existe pas sans un écosystème « Internet » comme
Pour conserver la mémoire de ces échanges, renforcer les liens des contributeurs, pouvoir échanger des contenus qui, pour des raisons diverses, ne peuvent apparaître sur FB (tout en étant dans les limites de la loi et de ce qui peut être faits entre adultes volontaires et consentants), assurer une veille technologique différente, un site Internet : libertine-friendship.jimdo.com
Ce site est réservé à mes « amis » sur Facebook qui recevront sur demande, le login et le pass-word pour y avoir accès.
e site est un « work in progress », y accéder, c'est accepter de participer à son enrichissement. Alors soyez sincère dans votre demande.
En réponse à un débat que je suis suit sur Facebook
Vous êtes invités à participer à ce groupe sous conditions du respect de ces règles (plus de 21 ans, être vrai libertin ou libertine, ne pas être ni un consommateur de réseau sociaux (participer), ni un "touriste sexuel" (Modération rigoureuse).
Si le XVIIIème siècle fut celui des amours multiples – il y a beaucoup à dire sur le sujet – le XIXème et le début du XXème siècles avec les maisons closes légales et la montée en puissance de la morale bourgeoise réservent l'échangisme à des franges marginales de la population (intellectuels ou artistes...).
Un événement important va créer les prémisses de la démocratisation de cette pratique : la Seconde Guerre Mondiale à travers une pratique connue sous le nom anglais de « swapping » ou « échange de femmes ».
Cette pratique s'est développée pendant la guerre dans le monde des pilotes d'avions. Leur statut, leur mode et leur rythme de combat les autorisait à avoir leurs femmes à leurs côtés à la différence des soldats de lignes ou des marins. Ils rentraient régulièrement chez eux, enfin, quand ils rentraient ! Le taux de perte était très important. Le tour était de 15 missions et un pilote qui dépassait les 9 était chanceux, qui arrivait à 15, un miraculé. Souvent, ils prenaient un autre, puis un autre tour.
Face à ce danger et pour lutter contre la morbidité de leurs mondes qui voyaient les copains disparaître régulièrement, laissant des veuves et des orphelins, pour lutter, comme le font les médecins dans les salles de garde, contre cette dépression, ils avaient pris l'habitude, le soir, de mélanger dans un grand saladier, les clés de leurs appartements. Chacun tirait au sort et couchait dans l'appartement qui lui était attribué avec la femme qui l'habitait.
Note : Le libertinage sous toute ses formes est le meilleur moyen de lutter contre la morbidité ambiante
On pourrait voir cette attitude comme sexiste, et, eut égard au moeurs de l'époque, elle l'était sans doute. Qui connait l'accord des femmes ?
De l'échange séparé aux parties de groupes, le pas était facile à franchir et ce fut fait.
L'après-guerre, la libération progressive des moeurs, le temps des loisirs, les corps exposés sur les plages n'ont fait qu'amplifier cette tendance. Mai 68 fut le temps de la rupture avec le conformisme moral, le temps de l'amour collectif dans les communautés. Le « Roi René » sous Pompidou marqua le début de la publicité de cette pratique, puis vint le temps de Giscard,, et le monde de la Publicité, de la Communication, généralisa la pratique dans le monde « bobo » comme en témoigne un auteur de bandes dessinés célèbre :Lauzier et les premières revues d'annonces.
Puis vint le temps de la CB, du Minitel Rose et de l'Internet.
4. Se remotiver pour la bagatelle et ne pas se laisser aller à la paresse.
Pour cette résolution, aucun problème. Depuis le 1er janvier, une petite spécialité lorraine me remotive et ne me laisse aucune place à la paresse. Je n’ai, je pense, jamais aussi bien tenu mon rythme de publication sur ce blog.
A défaut de sa présence, il y a malheureusement quelques kilomètres entre nous, cet éloignement, je l’espère passager, me porte. Je lui dédie ces billets.
Résolutions masculines vs résolutions féminines (1)
Résolutions masculines vs résolutions féminines
(2)
Résolutions
masculines vs résolutions féminines (3)
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