Curieusement, malgré le fait que je fréquente le monde libertin depuis plusieurs, sinon plusieurs dizaines, années, j'avait été confronté au monde des travestis. Quelques vagues tentatives de me travestir moi-même (dont je ris encore), quelques uns croisés au hasard des soirées mais sans que cela tire à conséquence, une magnifique tahitienne hormonée qui m'a laissé un aussi grand souvenir qu'est grand le dédain que j'ai pour le lieu (et l'hôte) de cette rencontre.
Je dois néanmoins concéder un fantasme non réalisé mais qui a fait quelques lignes, ici et là, dans ce blog. Celui de la rencontre d'un couple, l'homme comme la femme, très féminins, et pour l'homme, amateur de travestisme et passif. N'étant pas obsessionnel, ce fantasme va et vient, et le fait qu'il ne soit pas encore réalisé ne m'a jamais posé problème.
Pourtant, me voilà en condition de le réaliser, même si c'est sans garantie.
Tout est parti d'un conflit avec une « amie » de Facebook. J'avais publié dans un groupe secret du réseau social mon désir de rencontrer « une femme ». La demande figure sur ce blog, vous pouvez la lire ici.
La jeune personne a cru utile de m'interpeller en me reprochant, avec cette « annonce » de rechercher un « passeport » féminin pour accèder aux clubs échangistes.
Je ne vais pas réargumenter, mais ce n'était pas mon propos. Je cherchais simplement, après une longue absence à réactiver mes pratiques. J'ai toujours plaisir à échanger avec une femme, mais quand je suis seul, je fréquente les soirées ouvertes aux hommes seuls où je m'assume comme tel. Et quand les soirées sont réservées aux couples, je regarde la télévision, je lis, j'internete.
Dans une grande envolée, la jeune personne me disait « tu recherche une femme, pourquoi pas un homme, un couple, un trav, un couple de trav, un trans.... »
Pas de chance pour elle, des hommes et des couples, j'ai dans mon scope. Et elle ne me provoquait pas en me proposant de recherche un trav ou un trans.
La « psycho-pathologie de la vie quotidienne » du Camarade Freud à parfois de drôles d'exemples.
Quelques jours plus tard, je réactivais mon compte « Geolib » et, scannant mon environnement proche, de découvrais un couple, un site Internet, une soirée proche dans le temps : triosexlove
et la suite est une autre histoire..... à suivre
Des jeux auxquels j'aimerai bien jouer actuellement
Qui inviter ?
Une partie libertine (soirée, journée, week-end...) libertine est usuellement ouverte à des couples libertins, à des libertines solitaires ainsi qu'à des libertins masculins sélectionnés (et oui, comme l'offre dépasse souvent la demande, il faut en passer par là mais les critères de sélections ne sont pas standards. L'intelligence des hôtes, leur sens du libertinages et leurs goûts ouvrent largement les critères au-delà des « Apollons TTBM ».
S'il est bon d'inviter à l'intérieur de son cercle de connaissances, il faut rappeller que les « ami(e)s de mes ami(e)s » sont toujours de nouveaux « ami(e)s » potentiels et qu'élargir en permanence son cercle d'ami(e)s est une bonne pratique libertine.
Par contre, il n'est pas inutile de bien faire comprendre à vos relations proches qu'ils sont d'une manière ou d'une autre responsables du comportement des relations qu'ils pourraient vous présenter.
Les hôtes les plus traditionnels confirmeront leur invitation par un carton (enfin un petit mot gentil), les plus modernes par un courrier électronique auxquels, les invités auront l'amabilité de répondre.
En règle absolue, seuls les invité(e)s auront accès à la fête (donc pas d'accompagnateurs ou d'accompagnatrices de dernière minute – la règle peut paraître contraignante, mais « autant prévenir que guérir »!)
Autant l'avouer franchement, je ne suis pas un grand amateur de cirque, peut-être l'effet des codes surannés qui président à sa théâtralité... quand à choisir un spectacle approchant, je préfère de très loin le burlesque
Alors, j'attends de voir la proposition de la Cie Cahin-caha et son spectacle « Rose » (le titre déjà est tout un programme) qui change un peu du rouge et or (comme la collection enfantine du même nom)
Rose s’inspire du new burlesque ou neo-burlesque et revisite l’origine, l’essence même du cirque, dans sa sensualité morbide, fil tendu entre Eros et Thanatos, entre Artifice et Réel. Et c’est le spectateur que je place sur ce fil. Progressivement, de provocation en pénétration, je veux semer le trouble, le possible impensé qui bouscule le statu quo.
Rose est structuré comme une série de poèmes, de scénettes autonomes, chacune avec un rythme, une couleur et un univers particulier. Des pièces courtes traitant un archétype de l’érotisme pour explorer une mythologie du présent.
Ces morceaux sont inspirés de personnages de forte charge érotique (standards du répertoire kitsch) comme : Salomé, Dr Jekyll & Mr Hyde, Eros & Psyché, le martyr St. Sébastien, Dracula.
Alors à découvrir en janvier et février entre Marseille et la Seyne-sur-mer.
Programme sur le site de la compagnie.
Je ne sais pas à qui je dois m'en prendre. J'avais pourtant pris toute mes dispositions pour être en temps et en heure à l'ouverture des « hostilités » malgré quelques 200 kilomètres de route. Mais, je dois m'en prendre :
Quoi qu'il en soit, c'est avec bien 45 mn de retard que j'ai rejoint le Move où mes amis du Ran des Adam et Eve savaient légitimement déjà bien commencé la soirée.
Si je n'avais manqué que l'assemblée générale de l'association, cela n'aurait pas été trop grave. Mais, plus désagréable, voici que comme animation de l'apéritif était prévu une séance de « Nyotaimori » avec des rondelles de saucissons en guise de sushis.
Désolé, belle personne qui avait offert votre corps aux convives. Je n'ai pas eu l'occasion d'en profiter.... et je me suis vengé sur le Beaujolais nouveau (merci à celui qui l'a acheté, il était de bonne qualité).
C'est toujours un plaisir que de retrouver des ami(e)s libertin(e)s, surtout s'ils ont fait quelques centaines de kilomètres pour palier dans le réel au manque de contacts physiques du virtuel. C'est encore plus plaisant d'élargir son cercle d'amitiés quant les hommes sont diserts et bons compagnons et que les femmes sont aussi agréables à regarder (merci pour les nylons, cuirs...) qu'à entretenir.
Si le style musical des clubs libertins m'était un peu plus agréable, la soirée aurait été parfaite. Mais je ne devrai pas me plaindre, le Move est un club de bonne tenue, ses espaces câlins confortables et bien utilisés.
La soirée fut longue, longue et ouverte, d'autant plus que passé une certaine heure, nos agapes furent ouvertes à la clientèle habituelle du club.
Ce fut l'occasion me découvrir (au propre et au figuré). Mais, je reviendrai sur cette expérience.
Une dernière remarque. Il est difficile, quand on est un groupe constitué de libertins avérés et assumés d'intégrer des nouveaux. Les clients des clubs français restent toujours sur leur « quand à soi ». Dommage, ils seraient un peu moins coincés qu'ils feraient de belles découvertes et pratiqueraient les délices du libertinage avec beaucoup plus de liberté.
J'aime cette allitération, même si elle a du être faite une bonne douzaine de fois et j'irai même plus loin encore avec ce sous- titre : "Oui, We, Oui' ou "Oui-oui libertin".
J'ai rédigé le we (week-end) dernier le compte-rendu du dernier « Apéro libertin », avec un peu de retard voici celui de « l'after » qui a suivi (Pléonasme, is not it?)
Si l'on exclut tous ceux qui s'étaient affranchis des débats de l'apéros pour s'adonner à d'autres jeux, ceux qui avaient encore quelques kilomètres à faire pour rentrer chez eux et travailler le lendemain, les fatigués et ceux qui simplement avaient envies de se coucher, ne restaient donc à la porte du bar-restaurant qui nous avaient réunis, que deux couples et moi.
Fort de l'expérience de l'Apéro précédent où je n'avais (par pudeur – bien sûr) voulu m'imposer à une visite en club et des commentaires qu'avait valu mon choix, j'ai choisi de suivre les enthousiastes de la sortie nocture... et bien m'en a pris.
Bien m'en a pris, car cela m'a permis de découvrir un club qui m'a quelque peu réconcilié avec les clubs parisiens tout en profitant d'une soirée à laquelle ne n'aurais pas été nécessairement admis si je m'étais présenté seul. En, effet, la soirée thématique (007) était privée mais le fait que j'accompagnais un couple m'a largement ouvert les portes de la boite (Merci aux Marilo).
Dire que l'établissement était bondé serait un euphémisme, il y avait longtemps que je n'avais pas assisté à une soirée aussi populaire.... et rien que du beau monde (respectant, pour les hommes surtout, le dress-code – finalement, c'est moi qui était un peu décalé, je m'en excuse, mais je n'étais pas informé). Quand aux femmes, de tout âge, je doit reconnaître que mes yeux y ont pris autant de plaisir qu'à la vision de la chute de rein mise en valeur par un large « décolté arrière » de la petite robe noire de Marie qui m'avait introduit.
Le « We » est un club moderne, sur plusieurs étages (7 précise le site Internet) et des escaliers à n'en plus finir. Ne comptez faire de ces escaliers un espace de jeu dans une telle soirée, mais les coins câlins sont larges et généreux, si larges et si généreux qu'ils étaient joyeusement occupés durant toute la soirée.
A l'amateur de Panama qui, sur un réseau social bien connu, me demandait si j'en avais bien profité, qu'il sache que sur ce blog, je ne détaille jamais mes jeux en club. Tout au plus lui révélerais-je que j'en sortis les sens satisfaits... et je n'étais pas le seul, croisant, en partant, mes deux couples de l'apéro.
Juste une petite critique pour finir, les hôtes devraient sans doute améliorer la gestion des entrées et des boissons... surtout quand il faut plus faire la queue devant le bar que dans des espaces de jeux où l'on se laisse rapidement entraîner.
Pluie du matin, excite le libertin.
Morning rain, excites the libertine.
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Seriez vous disposé à participer, de temps en temps, dans l'arrière salle privatisée d'une brasserie, par exemple, à la réunion d'un groupe équilibré (couples, femmes, hommes) à des échanges, dans le réel, sur les divers aspect du libertinage.
Pas de sexe, in situ, mais les rencontres libertines, selon affinités, seront bien entendu, les biens venues.
A propos du courriel : L'inscription d'un courriel n'est pas obligatoire. Si vous souhaitez être informé des suites de ce projet, il est le bienvenue. Mais pour des raisons éthiques (cf mon pseudo), il ne sera utilisé qu'à cette information et ne sera livré à personne d'autres (et certainement pas à des sites marchands).
Si vous vous trouvez bloqués dans la diffusion de vos réponses, ne paniquez pas, la version de ce questionnaire est actuellement limitée, en attendant la version « prémium » en fonction des réponses.
Nous pourrions décrire les travaux pratiques sous la forme des scénarios suivants :
" En guêpière, bas couture et talons aiguilles, dans une soirée privée, vous pomperez le vit d'un asiatique pendant que sa compagne, de même origine, vous prendra en con avec un strap-on.
L'occasion de méditer sur le " caractère éphémère du plaisir " et la " nécessité d'y revenir souvent ".
ou
" Attachée et masquée, dans un club privé, vous subirez le martinet d'un bel homosexuel pendant que, vous massant les seins, je vous instruirez des frasques de Restif de la Bretonne, en contemplant des gravures licencieuses du XVIIIème siècle."
Puissent ces scénarios, traduisant cette volonté de pluridisciplinarité et de transdisciplinarité, un jour, se produire.
Mais les travaux pratiques seront le plus souvent le fruit d'opportunités que nous saurons, vous et moi, provoquer.
Expérimentez vos techniques sexuelles libertines. Il y a des choses qu'il vaut mieux voir et pratiquer que d'étudier dans les livres. Les clubs et les soirées libertines sont les meilleurs endroits pour étudier.
J'avais pour une jeune femme avec qui j'entretenais, pendant une assez longue période, un expérience de domination/soumission (soft) sur un scénario de VAEE (Valorisation des acquis de l'expérience érotique).
En substance, il s'agissait de vérifier son savoir faire dans différents domaines de la culture érotique et sexuelle, d'enrichir ses savoirs et son expérience.
Les cahiers de vacances « coquins » qui fleurissent chaque année pendant l'été, ne sont que de pâles copies, pour « touristes sexuels ».
Une idée pour ce blog, reprendre les contenus de cette VAEE pour vous les soumettre et vous permettre de jouer ce scénario (pas nécessairement dans une logique D/S)
… et si certains souhaitent m'associer à ces jeux (en réel ou en virtuel), je suis preneur... je suis aussi en « formation tout au long de la vie ».
Ne plus avoir de relations sexuelles sous l'effet de l'alcool alors que l'on sait qu'on le regrettera le lendemain
C'est le jour des crêpes et je connais une libertine bien décidée à en profiter sous tous les goûts : chocolat, nutella, chantilly et... crème fraiche.
Elles peuvent être aussi flambées, mais c'est le goût de la boisson qui perdure, pas les vapeurs évaporées.
En France, le coût des boissons en club est un frein à l'alcoolisme, en Belgique, l'open bar est la situation la plus fréquente, et pourtant, en quelques années de libertinage, je n'ai jamais vu de gens ivres, sauf récemment une femme malade, mais j'ai l'impression que c'était plus son état de santé qui était en cause que la quantité d'alcool qu'elle avait absorbé.
Finalement, le milieu libertin me semble plutôt sain. Une ou de coupes de champagne pour lever les inhibitions festives, pas le sexe, à priori, il n'en a pas besoin. Je goute un alcool un peu plus fort par habitude professionnel, mais jamais plus de deux verres.
Enfin comme homme « normal », comme libertin, je m'enorgueillis de n'avoir jamais fait boire une femme pour l'avoir. J'ai eu des amies qui tenaient bien l'alcool, d'autres qui ne pouvaient pas le voir en peinture. Je ne les ai jamais vu ivres.. ou alors, quand elles l'étaient, c'était dans un autre temps, je l'étais au moins autant qu'elles, sinon plus... et alors, là, elles ne risquaient vraiment rien de ma part, sinon dormir !
Se dire que plus on le fait, mieux c'est !!
Nous voilà donc à deux jours de la chandeleur, et plus on fait de crêpes plus les convives sont contents. Terminons nos résolutions pour l'année qui vient.
Mais, il n'y a pas que les crêpes dans la vie.
Plus on pratique le sexe, mieux c'est !! ce serait une tautologie s'il n'y avait pas la contrainte du quotidien. Mais ne soyons pas « pisse-froid » d'accord pour la répétion, juste pour le plaisir (mais rappelons que « l'amour, c'est comme la balancoire, on ne peut pas en faire tout le temps ».
Mais la répétition m'inspire autre chose.
Jouer à des jeux divers, avec des partenaires différents offre la possibilité d'enrichir ses plaisirs, ses savoirs et même,... ses compétences.
Alors, si vous souhaitez faire plaisir à vos prochains partenaires, pratiquez la formation tout au long de la vie en répétant régulièrement « les gammes » et en changeant d'air assez « souvent ». Il n'y a jamais que 365 jours dans une année.
On peut s'interroger sur les prochains jeux !
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