C'est une des postures les plus curieuses et les plus rares. Nombre de grands amateurs de Vénus sont mort sans la connaître ; c'est que, pour l'exécuter, il faut trouver ces femmes qui réunisse deux qualités rares : l'ardeur, d'abord.
Nombre de femmes feignent d'être ardentes pour plaire à l'homme qu'elles veulent séduire, mais ne sont au fond que de simples patients et non des agents, et ici il faut que la femme soit agent et que l'homme soit patient.
Ensuite, il faut qu'elle ne soit pas neutralisée par une sotte pudeur, résultat de la tyrannie des hommes exercée continuellement jusqu'ici sur les femmes.
Quand une femme donc est ardente et libre, elle prend un homme qui lui plaise sous tous les rapports ; elle le met nu comme un ver, l'étend sur un lit en lui mettant des coussins sous la tête et sous les reins, et toute nue elle-même, elle se met à cheval à crus sur lui, s'embrochant sur le pivot naturel, c'est-à-dire, sur son vit.
Alors elle fait comme le postillon sur un des chevaux des anciennes diligences de Lyon. S'appuyant un peu sur les épaules de son amant, elle s'avance en chevauchant et le vit se relève près du ventre de l'homme. Elle recule et le vit s'enfonce dans son con jusqu'à la garde.
Elle s'anime ; elle va de plus en plus fort, comme si la diligence parcourait un chemin raboteux. Ses yeux s'égarent, ses cheveux se dénouent. Elle jouit, elle jouit, mais elle va toujours ; elle va jusqu'à ce qu'elle soit tout à fait exténuée de décharge spermatique ; car il faut remarquer que l'homme, étendu sur ses coussins, ne pouvant pas bouger, bande de plus en plus, jusqu'à la fin, mais ne décharge pas. La femme tombe alors comme morte dans les bras de son amant, lequel, tout enflammé, finit de son côté comme il peut.
« Je serai bien aimable, je me mettrait toute nue, dit-elle insidieusement. - Passe ton chemin, répond le fidèle époux, ayant encore présente à la pensée
l'image des charmes de sa jeune mariée. - Je te ferai le grand jeu ! - Non – Feuille de rose ! - Non. - Le tire-bouchon américain ! - Connu... tu m'ennuie. Eh bien, tiens, tu me
plais, viens, tu ne payeras pas et nous ferons la diligence de Lyon ... »
(Fantaisiste, 1, 177)
Dictionnaire érotique moderne, Alfred Delvau, 1850
Une petite introduction au triolisme FFM, mais ces dames s'étaient servies avant
Un petit coup de pompe, alors un peu de récréation
« Quand je regarde la poitrine d'une femme, je vois double. »
Jules Renard
Bon début de semaine
La vidéo du week-end
« « Peeping Tom » est une expression anglaise signifiant « Voyeur », trouvant son origine dans la légende de Lady Godiva, où il aurait été le seul curieux à assister discrètement au passage de la Dame de Coventry, nue sur son cheval.
Une vidéo pour le week-end
Un petit film pour une bonne journée libertine
J'ai pris du retard ce matin occupé à libertiner des sujets importants par courrier électronique.
Alors pour me faire pardonner, une belle image du passé :
Il y avait longtemps que je n'avais pas passé de film.
Un petit film sur un objet qui retient toujours mon attention
J’ai bien travaillé depuis quelques jours. Je m’offre une belle image du passé.
Pour mon goût pour les petites poitrines :
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