Un chat privé sur Internet peut faire remonter de vieux souvenirs...

En un temps lointain, dans une ville qui restera indéterminée (pour respecter l'intimité de cette practicienne), j'ai eu besoin d'avoir recours à un dentiste. Par chance, j'en ai trouvé une par l'intermédiaire d'une amie.

Jeune et jolie femme brune, elle avait pour caractéristiques d'être lesbienne (tendance masculine) et de vivre en compagnie de son amie, blonde diaphane à la mode de Rohmer.

Elle ne m'a jamais fait souffrir... mais m'a néanmoins permis de réaliser (sans qu'elle s'en rende compte) un fantasme que je n'avais jamais et que, n'étant pas maso, je n'aurais sans doute jamais plus.

Docteur à la pointe du traitement de la douleur, elle proposait à ses patients les services de sa blonde sophrologue. Une relaxation tout à fait bienvenue avant de passer sur le fauteuil et d'autant plus agréable que la blonde avait une voix fort agréable.

Un matin d'hiver, après cette séance, elle m'a soigné vêtue d'une blouse médicale courte comme une nuisette, pantalon de cuir et bottines noirs à hauts talons. Devant mes réticences à me faire soigner et mon appréhension de la douleur, elle me l'a fait à l'autorité.

Ce souvenir s'interfère, aujourd'hui, avec des images fantasmagoriques. Elle aurait pu être en guêpière de cuir, cuissardes noirs, un fouet à la main à la place de la fraise....

Qu'elle laisse mes dents tranquilles... je suis prêt, aujourd'hui, à lui laisser toutes les autres parties de mon corps.

A défaut de pouvoir illustrer avec précision ce souvenir, j'ai trouvé cette vidéo

Comme quoi, la dentiste peut-être plaisante