Je disais, il y a quelques posts, le plaisir que je prenais à voir une femme mettre des bas en illustrant mon propos grâce à Betty Page.

J’aurai aimé publié l’image du geste de celle qui, ce matin, m’inspire ce billet. Mais il aurait été sans doute mal venu d’essayer de le saisir, à deux heures du matin, dans un club libertin.

A défaut, la suggestion de cette petite robe noire :

C’est un geste que j’ai souvent vu faire à des danseuses sur les pistes de dance libertines. Le plaisir de regarder danser une femme vêtue d’une robe très moulante, transparente parfois, mais surtout très courte. Le mouvement naturel de la danse fait tout naturellement remonter une robe, ce qui quand elle est « ras le bonbon » dégage rapidement le pubis et les fesses. Une situation qui n’a rien d’incongrue dans une « boîte à fantasmes » (un club libertin pour nos cousins canadiens).

La jeune femme d’hier soir, la portait très très courte, la petite robe noire érotique sur un corps mince et tonique. Et, elle s’abandonnait complètement à sa danse. Et la petite robe noire remontait, remontait, remontait dévoilant un string noir moulant une motte tentante, des fessiers parfaits.

Et comme toujours, ce qui devait arriver, arriva, les deux mains glissent le long du corps, des seins aux hanches, et dans le mouvement d’un petit coup de cul, retendent, vers le bas, l’ourlet de la robe.  Quelques minutes plus tard, le même geste se reproduit.

Rien que de l’érotisme dans ce geste.

Dorénavant, vous observerez mieux les femmes dansant sur les pistes de danse des clubs libertins.