Le premier article de ce blog date du 21 juillet 2005. Beaucoup d’eau a coulé sous les ponts, et outre les années qui passent, nous avons changé de mode « web » avec les effets du 2.0.

Ce qui a changé beaucoup de choses en facilitant les relations socio-libertines via les réseaux sociaux.

Le nombre de lecteurs et de contacts s’est élargi… et peut encore s’élargir.

Une occasion de rafraichir et d’enrichir ma présentation… 

J’ai de la chance : je fête cette année mes quarante ans de libertinage.

Mais avant de me présenter ma recherche actuelle. “Homme seul” depuis quelques temps pour cause de changement de projet de vie, je recherche une libertine, 45/55ans, qui saurait se reconnaître dans ma description, mes goûts, mes couleurs et mes projets. (mais je suis aussi disponibles à tous les échanges longs ou éphémères, réels ou virtuels, "juste pour le plaisir" ou non

Sachant que j’ai commencé à « libertiner » à l’âge où les jeunes atteignent aujourd’hui leur majorité, chacun pourra deviner, et mon âge, et le contexte dans lequel je vivais à cette époque.

Heureuse époque, où le libertinage était d’abord un acte politique (Ah ! La lutte sexuelle des jeunes de Wilhelm Reich et la perte de mon pucelage)…L’époque d’ « à nous les petites anglaises » (en réalité allemande, mais en Grande-Bretagne quand même. L’époque des préservatifs avant la pilulle…Il y aurait tant à raconter !

Le temps de gagner Paris pour mes études et la capitale était bien plus « chaude » que ma petite ville bourgeoise de province (Les temps auraient changé – l’espoir que l’on avait alors)

Les vidéo clubs n’avaient pas encore remplacé les scopitones du boulevard de Clichy, les salons de massage, la prostitution de luxe ou d’abatage, les sex-shops, la vente sous le manteau de fascicules datant d’avant la guerre de 14 ou importés de Scandinavie. Et pour l’évasion, le temps où il était encore possible de découvrir, par hasard, un hôtel de « rendez-vous » sur les bords de Marne ou, intentionnellement, de participer au « Wet Dream Festival » d’Amsterdam.

L’alibi professionnel offert par les études justifiait alors toutes les découvertes.

Puis vient le temps de la routine : couple, boulot, marmots… Pas vraiment un passage à vide, cela apporte d’autres plaisirs, cela occupe beaucoup de temps, cela apporte aussi beaucoup d’anxiété… de quoi le futur sera-t-il fait ? Mais, quand même, de temps en temps quelques découvertes, et en particulier celle du temps qui passe et qui modifient les mœurs de mes contemporains.

La maturité atteinte, avec, il est vrai ses petits inconvénients (le tonus, les petites pannes ici et là, le petit « œuf colonial » autour du ventre qui ne font pas nécessairement de vous le play-boy idéal), mais aussi ses avantages (la décontraction, les moyens de vivre ses plaisirs) engage à satisfaire à Candide : « Cultiver son jardin ».

Alors je cultive, dans le réel et dans le virtuel car, comme de bien entendu, il a fallu, grâce au sexe et au 2.0, que je succombe aux délices d’Internet, mais avec une morale : « Le virtuel procède du réel, et pas l’inverse ! »

A partir du blog : adulte-ere.over-blog.com qui existe depuis longtemps et qui connaît un petit succès d’estime, quelques bonnes critiques et une fréquentation assez régulière, j’y ai associé :

• un site internet : mondeslibertins.jimdo.com (en suspends)
• trois pages Facebook :
  • Perso : www.facebook.com
  • Les Mondes Libertins :  www.facebook.com
  • Cafés Libertins : www.facebook.com 
• un compte Twitter : libertinliberta