Ainsi donc, la dernière ligne de fabrication industrielle de lingerie en France va disparaître au « profit » des travailleurs et travailleuses tunisiens et tunisiennes. Je ne suis pas sur qu'ils aient beaucoup à y gagner car je suppose que les « petits-chefs », les « chronomètres », les « pauses pipi interdites » vont suivre comme existent en extrême orient une production bon marché, standardisé mais loin d'être au top des conditions de travail hédonistes que nous pourrions souhaiter.

A défaut, pour des raisons historiques, culturelles, sensuelles, il faut à tout prix garder la production haut de gamme des ces guêpières, serre-tailles, soutien-gorges, porte-jarrettelles, déshabillées, qui ont fait l'honneur du libertinage français.

Si vous connaissez des artisans ou des artisanes, qui comme pour les sex-toys, maintiennent l'exigence de notre culture de l'érotisme... n'hésitez pas à me le faire savoir et je me ferai un plaisir d'en faire la promotion comme ceux de « Corset Julia »

S'il faut dépenser un peu plus cher pour être « la plus belle pour aller danser » ou « la plus belle pour aller baiser », faites le, de temps en temps, pour la défenses des artistes français.

Pour éviter toute critique de « Poujadisme », de « Populisme », de « Marinisme » ou de « Françoisisme », je ne vois aucun inconvénient à acheter aussi, de temps en temps, des produits « mondialisés ».