C'est la tobade (?) de toutes les grisettes. Elles font asseoir l'homme sur une chaise, mettant son bouchon au vent ; puis s'asseyant à cheval sur lui et s'appuyant sur le dois de la chaise, elles se font entrer le dit bouchon dans le con tant qu'elles peuvent, le tirent, se refoncent dessus, jouissent comme des carpes pâmées, et s'en donnent ainsi jusqu'à ce qu'elles soient tout à fait échinées.
« Quoique Cornélie soit partie, le plaisir n'est pas parti avec elle ; monte chez moi, je serai bien aimable, et je te ferai le tire-bouchon
américain. »
(Fantaisiste, I, 179.)
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