De Hong Kong à la Norvège, AmnestyInternational détaille la situation des travailleurs du sexe de zones géographiques et contextes très différents. Quel que soit le pays, la situation de ces personnes est partout alarmante et révèle une absence de garantie et de respect de leurs droits et de leur sécurité.
Certaines activités liées au travail du sexe comme la «promotion de la prostitution » ou la location de lieux où ces services sont vendus - sont des infractions au regard de la loi.
Les personnes qui exercent un travail du sexe n’ont donc pas la possibilité - alors que cela pourrait contribuer à leur sécurité - de travailler à plusieurs ou de louer les services de tiers, car cela s’apparente à de la « promotion de la prostitution ». De même, le propriétaire d’un logement peut être poursuivi s’il le loue à un travailleur ou travailleuse du sexe.
Les cas de viols et de violences commis par des clients ou des bandes organisées sont fréquents. Pourtant, rares sont les travailleuses et travailleurs du sexe à porter plainte. Souvent, ils ne le feront que pour les cas les plus graves. Et certains de ceux qui osent porter plainte sont expulsés de leur domicile ou du pays.
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