Me voilà à courir les magasins à la recherche d'une tenue (très conseillée) pour la soirée du Nouvel An que je compte bien passer dans un club libertin.

Pas aussi évident que cela, malgré ma meilleure volonté, je n'ai pas encore rassemblé tous les éléments de cette tenue... mais je n'ai pas l'intention de renoncer, j'ai encore quelques pistes et... quelques jours.

mon thème !

J'aime cette idée du déguisement et j'essaye au maximum de me conformer aux consignes. Malheureusement, sauf à tomber dans des clowneries, les propositions de déguisements masculins ne sont pas très riches. Les animateurs de soirées devraient essayer de faire preuve de plus d'imagination.

Quelques uns ne m'ont même pas caché qu'ils renonçaient parfois à imposer un dress-code au motif que souvent, les trois-quart de leur salle n'y avait pas fait attention. Les propositions sont plus riches pour les femmes, mais même là, il y a encore des soirées bien tristes : la petite robe noire et les bas auto-collants.

Pourtant, aussi bien au masculin qu'au féminin, se préparer à une soirée libertine devrait être le début de la fête : un tour dans l'armoire à linges, des dessous de charmes ou coquins, une parure, un maquillage. Perdre un peu de temps devant sa glace aussi bien pour un homme que pour une femme de se refaire une santé, de changer d'air.

Alors, à la veille de ces soirées festives, profitez-en !

La nuit tombe tôt à Copenhague au mois de décembre. J’imagine qu’elle tombait toujours aussi tôt au début des années 70.

Mais Istegade, l’avenue qui court derrière la garde de la capitale danoise, brillait de tous ses feux et j’y étais comme un enfant dans un magasin de jouets à Noël.

Les sex-shops étaient encore inconnus à Paris mais n’allaient pas tarder à investir Pigalle ou la rue Saint-Denis.

L’étudiant que j’étais découvrait des ouvrages illustrés à foison, le super 8 en machines automatiques ou en cabine, les jouets sexuels et toutes leurs opportunités… au point d’offrir à mon hôte un petit sac tricoté tricolore (bleu, blanc, rouge) pour protéger ses roubignoles dans l’hiver nordique. Un cadeau fort utile !

A descendre et remonter, l’avenue, je fus finalement interpellé par un homme, du style de ceux qui vendaient sur le boulevard de Clichy, des images pornographiques en entrouvrant son pardessus, qui me proposé d’assister à un « live-show ».

Ne refusant rien pour satisfaire ma curiosité pour tout ce qui touche au sexe, j’acceptais immédiatement.

Je n’ai pas souvenir si je payais des arrhes pour assister à ce spectacle (au risque de me faire arnaquer) ou s’il fit confiance à ma bonne tête… toujours est-il qu’il me donna rendez-vous plus tard… le temps qu’il remplisse son quota de spectateurs, sans doute. 

Je retrouvai quelques heures plus tard, mon vendeur et je le suivis, avec un petit groupe d’hommes, dans les rues latérales… L’atmosphère avait changée. Fini les lumières des boutiques de sexe, ne restait plus que la nuit, glauque.

Glauque, l’immeuble où nous nous arrêtâmes, glauque, l’escalier qu’il fallu monter, glauque, l’appartement qui nous accueillait, glauque, la pièce avec juste un matelas par terre (mais dans mon souvenir, le drap était propre) et quelques chaises pliantes. 

Installés, les vestes posées sur le dossier des chaises, un jeune couple, nu, entra alors.

J’assistais à mon premier « live-show ».

Une éducation libertine

Trouvé dans « Libération », ce 4 octobre 2010-10-04

« En matière de sexe, la taille ne compte (soit-disant) pas. Faux, répondent deux chercheurs en urologie turcs.

Sauf que pour ceux, ce n’est pas sur celle du zizi qu’il faut s’attarder mais plus sur celle du tour de ventre. Car sous les tee-shirts XXL se cacheraient des amants du tonnerre. 

Selon leur étude, les gros résistent beaucoup plus longtemps à la tentation éjaculatoire que les filiformes.

La raison ? Plus le tour de taille et le taux de graisse augmentent chez les hommes, plus ils développent de l’oestradiol, une hormone féminine qui perturbe la testostérone et chamboule certains neurostransmetteurs régissant l’éjaculation." 

Quand je contemple mon « petit ventre » (loin d’être obèse) quand même, je me dis que je peux continuer à jouir des plaisirs de la « chair ».

Le sport et la pornographie seront les principaux moteurs d’adoption de la télévision 3D en France mais le déploiement en masse de cette technologie ne se fera que si le confort visuel s’améliore, si le prix baisse et si certains problèmes techniques sont résolus.

Des téléviseurs 3D sont disponibles depuis le mois de mai et, bien que le parc installé ne compte encore que quelques centaines d’unités, les fabricants parient sur un décollage rapide des ventes tiré par le lancement de nouveaux programmes. 

Depuis que le film « Avatar » de James Cameron a donné le coup d’envoi de la 3D au cinéma, des producteurs et distributeurs de contenus du petit écran espèrent profiter du « buzz » et font le pari que les effets de relief et d’immersion propres à cette technologie ne laisseront pas le spectateur indifférent.

« Les gens ont tendu les bras pour attraper les bonbons de la pub Haribo (en 3D). Quand des seins sortent de l’écran, c’est pareil, les gens tendent les mains pour toucher », raconte Philippe Gérard, cofondateur de 3Dlized, qui travaille avec la société Marc Dorcel sur une offre en 3D pour cet été.

Les spécialistes imaginent volontiers du sport – du football au rugby, en passant par la boxe -, du contenu pour adultes, différents spectacles (opéra, ballet ou cirque), ainsi que des films en 3D. Mais ils jugent que certaines images, celles du journal télévisé par exemple, ne s’y prêteraient pas. 

« La 3D, contrairement à la HD (haute définition), ce n’est pas la transformation de la télévision à court terme. On ne va pas dire aux Français ‘Demain vous êtes 3D ou vous n’avez pas de TV’ », explique à Reuters Gilles Maugars, directeur adjoint des technologies chez TF1.

Le cabinet d’études Gfk table sur 200.000 téléviseurs vendus en France en 2010 et estime qu’environ 1.000 unités ont été écoulées en mai. Des constructeurs et distributeurs de contenus sont plus optimistes, visant jusqu’à 500.000 unités cette année. 

En France, il faut compter au moins 1.300 euros pour un téléviseur 3D grand écran, et une centaine d’euros pour une paire de lunettes supplémentaire, le port de celles-ci étant pour l’instant nécessaire pour chaque spectateur.

Et comme je ne suis pas trop amateur de sports…

Il me faudrait sans doute un jour consacrer une page spéciale (voir les deux premières rubriques de la colonne de gauche) à mes souvenirs libertins. Ils commencent à être un peu dispersés dans ce blog.

En surfant sur Internet, j’ai retrouvé un petit dessin animé qui figurait dans le premier film authentiquement pornographique distribué pour le grand public en France : « Une anthologie du cinéma érotique » (je ne suis plus sur du titre). C’était sous Giscard, les mœurs s’émancipaient en France à l’image de l’Europe du Nord et de l’Allemagne.

Quelques années plus tard, Canal + étant crypté dans sa première version, ce film fut distribué à la télévision, je n’étais pas abonné…. Mais je l’ai suivi, avec l’image tremblotante et le son grésillant…

Sans tremblements et avec la bande son originale :

Le sexe, c’est bien mais c’est loin d’être la seule activité libertine.

En voici une  bonne de fin de mois d’Août

En attendant l’hiver, et un téton ou de grandes lèvres à la confiture de mirabelle. Au pimenté, on peut préféré, parfois, le sucré.

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