C’est une découverte récente. Mais, les voisines, dans les petites villes de provinces sont potentiellement de redoutables prédatrices pour les adolescents boutonneux. Mères, prenez garde à votre progéniture. J’en ai fais l’expérience, de la protection malheureusement, pas des voisines.
Les voisines de province, dans ces années 60, sont nécessairement pulpeuses, de la poitrine, des hanches, des formes. Les voisines de provinces sont blondes ou, pour le moins, châtain clair. Les voisines de province jardinent en été, pour l’une un jardin d’agrément, pour l’autre, un potager (les voisines de province ne sont pas toutes concentrées au même endroit). Les voisines de province sont dans leur quarantaine, le temps d’avoir fait quelques enfants (la mode est encore à la famille nombreuse, plus de trois), le temps d’avoir pu accéder à la propriété dans un lotissement, au moment où s’achève la crise du logement de l’après-guerre.
La voisine de province entre de plein fouet dans la société des loisirs. Fini la robe noire ou le tablier à fleur de leurs mères encore paysanne, la voisine de province ne lit plus le « Petit Echo de la Mode » ou « Bonnes soirées », la voisine de province lit « Elle » et suit l’après-midi, le magazine féminin à la radio quand elle n’a pas déjà la télé.
Vintage : quelques années avant les évêments rapportés
La voisine de province n’hésite plus à se rendre dans son jardin, au petit matin, en déshabillé. Elle jardine l’après-midi en short, en chemisier, en pull lâche et léger.
La voisine de province, au moment où la structure familiale éclate, devient peu à peu, la tante, la cousine éloignée, des grandes familles des périodes précédentes.
Alors, l’adolescent furtif, les regarde comme des tantes ou des cousines. Ce sont d’abord les pièces de lingerie abandonnées sur le fil à linge, puis l’observation se fait plus précise, cette voisine qui cueille des haricots, tôt le matin, en déshabillé (pudique), n’est-elle pas du coup nu quand le soleil levant, en transparence, révèle son corps. Et cette autre, au cœur de l’après-midi, que dire du pli de ses fesses quand elle se baisse, le short tendu, que dire de la poitrine libre qui ballotte sous l’effort sous chemisier échancré ou le pull lâche du col. Laisse-les travailler, mieux, tiens leurs, à travers la haie,
Les voisines de province sont de dangereuses prédatrices. « Tu ne restera pas un instant seul avec elle », « Si elle te propose à boire, ne la suit pas dans la cuisine », « tu n’as rien à faire chez elle »… Constatez que les mises en garde que l’on fait habituellement aux petites et aux jeunes filles ont un équivalent masculin. Je l’ai vécu. J’ai obtempéré.
Les voisines de province gardent un goût délicieux dans mon esprit combiné avec un rien de frustration. Ah, une seule voisine de province….
J’ai eu beau rechercher sur Internet, en variant les mots clés, l’image d’une de ses voisines.
Ami(e)s lecteurs, lectrices, si vous possédez la photo (libre de droit et autorisée) d’une femme d’une quarantaine d’année, blonde ou châtain clair avec des formes, en short, chemisier ou pull ample (dans un jardin serait un plus), je vous en remercie par avance.
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