Un goût de novembre depuis une semaine. Successivement, (gros) boulot, métro, dodo, tour de rein à avoir voulu rentrer au fond d'une Clio deux portes avec deux ordinateurs portables et leurs batteries en bandoulière... et un petit virus de saison sur les bronches.
C'est Samedi, un premier rayon de soleil. On va se remettre à poster.
A défaut de posts, n'oubliez pas, j'attends toujours de mettre premier euro dans la caisse du jeu-concours d'Adulte-Ere.
Tout vient à temps à qui sait attendre
Pousser un argument naturel et irrésistible ; c'est-à-dire une déclaration d'amour, sous la forme d'un bon vit – dans un bon con qui ne trouvera rien à dire à cela.
Sans brusquer une fillette
Moi j'attends patiemment
Quelle soit bien en goguette
Pour pousser mon argument
E.C. Piton
Se livrer complètement à un homme, lui ouvrir bras et cuisses, lui laisser faire tout ce que lui conseille son amour et sa lubricité.
Effet Web 2.0, je viens de créer ma liste de diffusion sur Doméus.
Objectif : créer un plus à ce blog
Dans le moteur de recherche de Doméus, recherche "Abbaye".
"Canne et érotisme", aux confins de la psyché, du discours amoureux, du symbole phallique, de l'histoire "des p'tites femmes de Paris", de l'art et de la littérature érotique, la canne dans tous ses états! Tout un programme. Une nouvelle exposition, réalisée par Iskiv Ltd, à partir des archives de la galerie Segas, vient d'être installée sur le site Web : www.canesegas.com
Spécialiste des cannes anciennes de collection et des cannes rares, la Galerie Segas nous offre ici le quatrième volet du cycle d'expositions virtuelles initié par le passionné d'histoire qu'est Gilbert Segas et qu'il consacre à l'histoire de la Canne, au carrefour de l'art, des antiquités et de l'histoire.
Cette nouvelle exposition nous raconte le parcours de la Canne dans les méandres de la représentation érotique. L'exposition nous compte comment, du dix-septième au vingtième siècle, la canne donna libre court à l'ingéniosité et à l'imagination des artistes. Certaines des créations parvenues jusqu'à nous sont aujourd'hui particulièrement rares. L'exposition nous conte encore comment la canne fut tour à tout austère, grivoise, suggestive, licencieuse; comment la canne à système, canne à secrets, fut utilisée au temps des maisons closes comme instrument des perversions de certains ou comme cachette par le bourgeois noceur. Mais elle nous conte aussi combien l'imagination des orfèvres et des sculpteurs a produit des cannes aux poignées et aux pommeaux délicatement sculptés, dont certaines ont été de véritables bijoux.
Allez, je vais faire plaisir à Géraldine (prénom érotique, n'est-il pas) d'Over-blog qui me signale que cela fait plus de 20 jours que je n'ai rien écrit, en reprenant les posts.
Quelques semaines à vaquer à d'autres occupations, les sujets se sont entassées…. Je devrais avoir de quoi faire.
Alors pour le retour, la preuve que Wikipedia est plein de ressources :
Un clin d'œil à un couple américain rencontré sur le Net. Un couple qui prouve que la réaction morale n'a pas encore atteint l'ensemble des Etats-Unis et qu'il fait bon vivre dans le Michigan.
Une chose est sure, ni au réveil, ni au coucher. Pas au réveil, parce qu'avant un bon café, une douche, je ne suis pas bon à grand-chose (malgré les érections matinales). Pas au coucher, parce que j'aime bien lire quelques pages d'un livre, fumer une dernière cigarette? et dormir.
Entre ces deux extrémités de la journée, quelques moments peuvent être privilégiés :
- onze heures, l'apéritif dehors et au soleil (en été)
- le thé de cinq à sept, au coin du feu (en hiver)
- avec le digestif (cognac ou armagnac), après un bon souper (dans ma campagne)
- au son de slows langoureux (en club)
? et plus prosaïquement et plus généralement, quand l'occasion se présente (Tempus Fugit)
Cela date de 1972. De Frédéric Botton chanté par Ann Sorel.
Dans le genre poétique, on a vu nettement mieux, mais cela prouve au moins qu'aucun sujet n'est tabou dans la chanson française… avec quelques images d'époque.
Des amis sont venus prendre un verre, une heure
Et nous avons fait l'amour à plusieurs.
Sans chercher pourquoi, sans autres raisons
Que d'aimer un peu à la déraison.
L'amour à plusieurs, c'est bon pour le cœur.
Sur le canapé, j'étais près de toi.
Oui mais dans mes bras, ça n'étais pas toi.
Quand tu t'es penché pour me regarder
Juste à cet instant, je t'ai désiré.
L'amour à plusieurs, est-ce bon pour le cœur ?
Puis tu t'es glissé tout contre mon corps
Et je sens ta peau qui me brûle encore.
Ainsi, j'ai compris n'aimer plus que toi
Et que nous faisions là n'importe quoi.
L'amour à plusieurs, c'est pas bon pour le cœur.
Et puis un à un m'avait caressé
Et puis un à un, j'ai su vous aimer.
Des amis sont venus prendre un verre une heure
Et nous avons fait l'amour à plusieurs.
L'amour à plusieurs,
L'amour à plusieurs...
La position dite "l'union du lotus". L'homme assis en tailleur reçoit la femme sur ses cuisses. Elle enserre son bassin avec ses jambes.
Le principal avantage que je vois à cette position est qu'elle laisse les mains et les bras des deux partenaires libres pour toutes les caresses possibles.
A cet égard et parce qu'il y a chez tout libertin, un nonchalant qui "sommeille", toutes les positions où couché ou assis, l'amante est aussi libre de ses mouvements.
Et puis, il y a le petit plus du libertinage :
Chose promise, chose due. J'ai un peu de temps, alors j'en profite pour réhabiliter le mot "con".
"Putaing Cong", sous une forme gentille ou injurieuse, le con c'est un imbécile ou une crapule.
Et pourtant, Mathurin Régnier (1573-1613) nous rappelle que ce ne fut pas toujours le cas
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Eloge du con
O con gentil, con mignon, con joly, Con rondelet, con net, con bien poly, Con ombragé d'un petit poil folet, Con où il n'y a rien de difforme ou laid, Con, petit con, dont la bouche vermeille A fait dresser à main grand vit l'oreille ; Con que l'on doit, plus qu'un saint, tenir cher, Quand ainsi faict ressusciter la chair. O con, qui peult à ta louange tendre ? Où est l'engin qui te puisse comprendre ? Con est d'amour le trésor et domaine, Con, la forge de quoi nature humaine Faict ses divins et excellents ouvrages, Con est de mort séparant les dommages ; Con est la fin dont l'amour se couronne, Con est le prix dont l'amour se guerdonne, Somme, le con, quand tout est bien compris Sur le surplus doit emporter le prix. Il est bien vrai que l'?il l'amour attire, Mais le con est l'amour qui se désire. Or de la bouche elle a bien bonne grâce Et croy pour vray que la première place Doit obtenir au service du con, Car trop mieux qu'autre elle sçait la leçon Pour refuser ou accorder l'entrée De l'amoureuse et plaisante contrée; Touchant la main elle est propre et aducite Pour con servir de loyale conduite, Estre près de luy, et prompt à ses affaires Les plus secrets et les plus nécessaires. De ce tétin il n'en faut point mentir, Je ne sçay quoi à qui le c?ur sentir, Prochain parent et de nature mesme De ce con cy, qui est cher comme cresme, Quand au regard de sa cuisse, bien faicte, Blanche, élevée, ronde, dur et refaicte, C'est le beau lit où le con se repose, Ce con plaisant, ce con tant digne chose, Que je puis dire, et sans imputer vice Au résidu, tout faict pour son service : - " Doncques ce corps entier au départy, - Je prends le con pour le meilleur party. "
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J'aime tous les "cons"
Comment s'est passé votre première fois ?
J'ai déjà répondu à cette question (voir le lien)
A peu près aussi joyeux que ce parking
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