Un coach libertin s’exprime sur Direct 8 : « A qui profite le libertinage ? »

Business - A qui profite le libertinage ? - Direct 8 from Christophe BEIGNEUX on Vimeo.

N’allez pas croire parce que je n’ai pas consacré de billet à mon « Enfer » depuis fort longtemps que celui-ci ne croit pas, tranquillement.
Mais on se laisse avoir par la mode ou la facilité.
Alors une nouvelle entrée dans ma bibliothèque : « Q ».
Le titre parle de lui-même… encore qu’a critiquer la pratique du langage SMS, j’aurai titré « Culs »… mais cela n’aurait sans doute pas eu le même effet sur la couverture.

Quoiqu’il en soit, 34 photographes célèbrent les formes féminines et prouvent qu’elles ne sont pas seulement faites pour s’assoir.
Quelque soit leurs formes, leurs environnements, les objets de leurs mises en valeur, le noir et blanc ou la couleur, les « Q » féminins restent un spectacle excitant
A réserver aux amateurs de beautés callipyges.

Q
Direction artistique d’Alain Mingam
Aux Editions Castor et Pollux

Retrouvez « L’Enfer » d'Adulte-ere

Petite sœur de la célèbre collection « Osez » des Editions La Musardine (Osez la fellation, Osez les sextoys …), la nouvelle collection « Osez 20 histoires de sexe » s'est donnée pour mission de célébrer la sexualité féminine, de façon joyeuse et décomplexée, dans des recueils de nouvelles à thèmes. "Osez 20 histoires d'infidélité" et "Osez 20 histoires de quick sex"  seront les premiers à ouvrir le bal à partir du 20 mai en librairie.

Ces deux premiers volumes mélangent des textes d'auteurs confirmés à ceux d'amateurs encore jamais publiés, conformément au postulat d'une collection qui se veut participative, et donc ouverte à toutes et à tous. Rédigées dans un style direct et réaliste, ces 20 histoires de quick sex et 20 histoires d'infidélité sont bien décidées à dépoussiérer la littérature érotique en l'inscrivant résolument dans l'air du temps.  

Pour plus de renseignements, consultez le blog de la collection : osez-vos-histoires-de-sexe.com

L'endytophile préfère que son partenaire sexuel soit vêtu plutôt que nu. Se dit aussi "endytolagnie"

Quand j’ai découvert que j’étais un « phile » quelque chose.

Femme libertine qui court volontiers après les porte-queue, soit parce qu’elle y trouve son plaisir, soit parce qu’elle y trouve son intérêt

Une fille inconnue, qui fait le métier de coureuse
Molière

Dictionnaire érotique moderne, Alfred Delvau, 1850

Si vous êtes intéressé à jouer avec quelqu'un, quelqu’une ou quelques uns, dites-leur d'une manière gentille. S'ils sont intéressés, ils sauront répondre positivement. Si ces possibles partenaires ne sont pas volontaires et vous répondent «Non, merci», ne demandez pas pourquoi.

Aucun mots doux ou de la contrainte de votre part ne les feront pas changer d’idées et cela se retournera probablement contre vous.

Chacun a le droit de dire "NON" à tout moment, à n'importe qui, sans explication. N'oubliez jamais cela.

En 2000, la galerie Kamel Mennour avait proposé une rétrospective Pierre Molinier et publié un catalogue à cette occasion. En 2005 une seconde exposition, plus intimiste, était organisée autour de la publication des écrits de l’artiste, Je suis né homme-putain. Cette troisième exposition accompagne le livre de Jean-Luc Mercié, une monographie de 400 pages, publiée conjointement avec Les presses du réel. L’ouvrage analyse les procédés, retrace la genèse des photomontages et propose une nouvelle biographie établie à partir des correspondances inédites.

Pierre Molinier est un inconnu de notoriété mondiale. Pas un livre, pas une exposition sur le corps, la confusion des genres et les dérives du sexe où ne figure quelque œuvre de celui dont André Breton saluait le «génie» dans un texte mémorable de1956.

Son travail reste pourtant peu accessible : certains tableaux n’ont jamais été montrés et seul un maigre corpus de 160 tirages a été publié. Or, les archives du peintre ont permis de mettre au jour un ensemble beaucoup plus important : nombreuses épreuves de travail en vue des photomontages définitifs, tirages d’étape offerts aux amis, mais aussi carnets intimes, notes et courriers personnels. Des liens précis apparaissent entre peinture, photographie et existence scandaleuse. Le mythe, soigneusement élaboré par l’artiste, commence alors à s’effriter devant la réalité de l’œuvre.

Séducteur invétéré, fétichiste convaincu, travesti impénitent, bisexuel par inadvertance, Molinier aura été habité jusqu’à la fin par deux obsessions: «jouir» pour accéder au paradis immédiat de la petite mort et «laisser une trace dans l’infini du temps». Le présent ouvrage suit l’incarnation esthétique de ses passions. Il reproduit 800 photographies, inédites pour la plupart: elles révèlent la méthode, éclairent les procédés, renseignent sur la genèse et l’alchimie des images latentes ou composées. Une longue chronologie, établie à partir des lettres, propose une nouvelle biographie de Molinier. C’est là, dans le secret des correspondances, que le cœur du chaman bat au plus près de la vérité.

L’exposition met l’accent sur un pan inconnu de l’œuvre, plus étendue et variée qu’on ne l’imaginait. En particulier sur les collages, tenus secrets jusqu’à ce jour, et qui ont été la «matrice» des photomontages du Chaman et ses créatures. On y découvrira également des ébauches, des tirages négatifs et des épreuves uniques rehaussées au crayon. Ainsi que des photographies jamais publiées.

L’installation évoque l’univers de Pierre Molinier. Il s’agit d’un ensemble de meubles, tableaux, dessins et objets provenant de son appartement bordelais. Chevalet, psyché, miroirs, paravent, tabouret, fouets, masques, trousse de maquillage, bas de soie, godemichés et revolver ne trompent pas. Sans prétendre à la reconstitution, ces reliques de haut fétichisme sont la marque d’une présence inconfondable. Nous sommes bien ici chez le chaman de la rue des Faussets. Dans le demi-jour de l’atelier la grande poupée s’admire devant la glace et provoque le visiteur d’un air hautain… Une allure et un regard qui ne s’oublient pas.

Pierre Molinier. Exposition d'œuvres inédites, collages et photomontages.
Du 11 février au 6 mars 2010.
Galerie Kamel Mennour
47 rue Saint André des arts
75006 Paris

Lorsque vous allez chez quelqu'un pour une partie fine, demandez toujours s'il ya quelque chose que vous pouvez apporter. (C'est incroyable de voir combien de nombreuses fournitures, et pas seulement les denrées alimentaires ou les boissons sont rapidement épuisés à l’occasion d’un partie même de peu de membres.)

Sachez qu’un petit cadeau est toujours le bienvenue (et pas nécessairement du vin.)