Une petite anthologie des introductions (sic) de films pornographiques des années 70.
Un petit coup de nostalgie et beaucoup d’humour.
A découvrir :
Vintage Porn logos from PornoGraphics on Vimeo.
Cette vidéo, en espagnol, vient heureusement et humoristiquement compléter nos dictionnaires.
En complément, également de la revue de presse : « Les filles se ramassent à la plume »
« Quand on ne sait rien de quelqu’un, on s’accroche à ce qui saute aux yeux. Fautes d’orthographe et pauvreté de langage en disent aussi long que l’apparence physique ».
Libération consacre une double page, le vendredi 13 novembre 2009, à l’art de l’écriture sur les sites de marivaudage.
La référence : Meetic et un écrivain, qui se définit comme banal, qui affirme réussir un maximum de contacts grâce à sa plume et son originalité.
Si je m’en tiens au contenu de certains blogs ou de certains commentaires, je confirme. Un petit effort d’écriture (ou, mieux, le plaisir d’écrire) est efficace et pas seulement sur le sites romantiques. Lol.
Une pratique qui faisait autrefois « mauvais genre » semble, si j’en crois ma veille, de plus en plus populaire. Les offres, les demandes, les soirées privées ou en clubs sont de plus en plus fréquentes.
Une bonne définition qui confirme mon hypothèse, en explique sans doute l’intérêt pour les libertines (au plus grand plaisir d’un grand nombre de libertins – encore que… ne sommes nous pas face à un risque de développement du nombre de « touristes sexuels » au détriment des vrais libertins).
En général pratiqué par une femme avec plusieurs hommes (est également une pratique courante chez les homosexuels). Étant donné que physiquement les femmes et les hommes ne mettent pas le même temps pour atteindre l'orgasme, cette pratique est de plus en plus populaire, car elle permet à la femme qui est au centre de l'action, de prendre vraiment son temps pour atteindre un orgasme fulgurant. Longtemps réprimée et cachée, la pratique du Gang Bang semble être en pleine recrudescence. Il s'agit là d'un fantasme féminin très populaire. S'il peut être réalisé sans être jugé, on remarque que ce fantasme touche de plus en plus de femmes et de couples.
Cela faisait longtemps que je souhaitais consacrer quelques lignes à ce peintre-photographe. Mais comme « il faut toujours remettre à demain ce que l’on pouvait faire la veille », c’est resté à l’état de projet.
Voilà que j’apprends son anniversaire, alors ce modeste cadeau à cette occasion.
Nous nous sommes brièvement croisés sur Facebook. Et, je le confesse, mon premier mail n’a pas été du meilleur goût. Il a fallu que je plaisant sur son nom « Michel Debray » et que je lui demande si, avec un nom pareil, il n’était pas trop dur d’être libertin. Une « private joke » que les moins de vingt ans qui n’ont pas connu un petit bonhomme avec un entonnoir sur la tête, ne peuvent pas connaître. Qu’il ai souri ou non, toujours est-il qu’il lui a fallu me préciser que l’orthographe n’était pas la même, ce que je lui concède absolument.
Alors, au-delà de cette anecdote, pourquoi ces lignes, parce que c’est un libertin qui s’assume et que je ne suis pas insensible à son art (ses arts puisqu’il s’agit à la fois de peinture et de photographies).
Amateur de belles images mais plus homme de plume que de pinceau, mal formé aux beaux-arts bien qu’issu d’une famille d’artistes (au point d’être un peu jaloux de ceux capables de peindre ou de photographier), je me garderai bien de commenter son travail, mais j’y trouve beaucoup de plaisirs au point de le partager en vous orientant vers son site m_debray.perso.neuf.fr
Il ne m’en voudra pas, je l’espère d’avoir capturé une de ses images pour illustrer ce billet (Valérie pour la référence à Cranach – mal formé, mais pas sans références J.
PS : un petit conseil, il existe plein d’outils web 2.0 qui permettent la présentation d’images de manières originales, mais surtout permettent d’atteindre des taux de téléchargements beaucoup plus confortables.
Les « maisons closes » semblent à la mode.
La Galerie d’art « Au bonheur du jour » organise, du 28 octobre 2009 au 31 janvier 2010, une exposition vente sur le siècle d’or de ces lieux de plaisirs « tarifés ».
Les Thèmes de cette exposition illustrée par des documents, photos, dessins, peintures, objets et autres documents
Et les lieux emblématiques :
« Au bonheur du jour »
11 rue Chabanais
75002 Paris
A l'occasion de la sortie de "69 "et "Chasseurs de fantasmes", deux anthologies dédiées à l'érotisme dans l'imaginaire, l'association Muses et Merveilles organise un café littéraire sur cette thématique.
Pour bien commencer l’automne et se réchauffer avant d’entrer dans le froid hivernal, l’association Muses et Merveilles réuni les éditions Actusf et Griffe d’Encre qui ont eu la bienveillante idée de sortir chacune une anthologie : 69 et Chasseurs de fantasmes.
Doit-on vraiment préciser que ces ouvrages ne seront pas à mettre en toutes les mains ? Une lecture à combien de mains, ça par contre, ce sera à vous de le décider !
Si vous n’avez pas encore découvert ces nouvelles où se mêlent maîtresses cybernétiques, philtres d’amour et orgasme en capsule, venez en goûter un préliminaire lors du café littéraire du vendredi 13 novembre à 19h au Motif.
Vous pourrez vous faire dédicacer vos exemplaires à la suite de la séance.
Seront présents : Jeanne-A Debats (anthologiste), Zariel (illustrateur), Christian Vilà (auteur), Charlotte Volper (anthologiste), Daylon (auteur), Mélanie Fazi (auteur).
Le Motif : 6 villa Marcel-Lods, Passage de l'Atlas, 75019 Paris
Publié aux Editions Ragage, cet ouvrage laisse les femmes les femmes parlerde leur rapport à la masturbation et à leur recherche du plaisir.
Les commentaires des modèles encadrent les images et offre comme la possibilité d’une porte entrouverte sur la compréhension des tremblements, des cyclones et des remous intérieurs propres au plaisir solitaire
Ce livre fait l’objet d’un blog qui en poursuit la quête :. www.voyages-interieurs.20mn.com
« Je suis trop fatigué », « je ne suis pas d’humeur », « j’ai mal à la tête », « je dois me lever tôt demain matin » et « je suis préoccupé par le boulot », tels sont, dans l’ordre, les cinq prétextes le plus souvent avancés par les britanniques pour ne pas faire l’amour.
Cherchant à mesure l’influence de la crise financière sur les performances au lit sur les sujets de sa gracieuse majesté, l’institut de sondage en ligne OnePool.com a sondé 4 000 adultes des deux sexes.
Bilan de cette enquête, sept personnes sur dix se disent trop épuisées pour apprécier la bagatelle en ce moment. Et six sur dix le reconnaissent sans détour, « oui », la crise à des effets sur leur activité sexuelle.
Ouf, c’est en Grand-Bretagne. Ici, quand j’entends le mot « crise », je me rassure avec le mot « sexe ».
L'Académie des Beaux-Arts se penche sur "Le sein, cet illustre connu et inconnu..."
« Couvrez ce sein que je ne saurais voir », lance, impérieux, le Tartuffe de Molière à Dorine, la servante, en lui tendant un mouchoir à la vue du haut de sa poitrine émergeant du corsage traditionnel des soubrettes classiques. « ...Et cela fait venir de coupables pensées ». A cette admonestation, Dorine réplique avec le franc parler de la nature : « Je vous verrais nu du haut jusques en bas, que toute votre peau ne me tenterait pas ».
Dans le raccourci saisissant du théâtre, Molière hausse au symbole le sein de Dorine et dénonce les contradictions que la société y a attachées.
Voilà, déjà, pour la littérature.
Le dossier conçu et élaboré par François-Bernard Michel et Lydia Harambourg sur le thème du sein entreprend de cerner le mystère que les philosophies ont secrété au long de l'Histoire, en embrassant largement les oeuvres de peintres, sculpteurs, graveurs, aujourd'hui des photographes - avec une incursion dans l'imagerie médicale -, qui en offrent l'illustration
SEIN ? Le mot est aussi banal et figuré qu'ambigu, voire mystérieux.
Après le sens propre de mamelle - la glande mammaire caractéristique des mammifères -, se sont multipliés en tous sens les sens figurés (coeur, intime, ventre, centre, sinuosité, source), témoignant de l'ambiguïté du mot et de sa diversité symbolique.
Si ce numéro de La Lettre de l'Académie se consacre au thème du sein féminin dans les arts plastiques, c'est donc pour invoquer, au-delà des formes et couleurs, le mystère du sein.
Qui pourrait se prétendre capable d'imaginer l'extrême diversité des figures physiques et mentales que suscite, pour une femme elle-même, la seule énonciation du mot sein ? Prononcer le mot fait surgir immédiatement une multitude de représentations différentes, liées à l'âge, la culture, l'histoire personnelle et familiale, la santé et la maladie, la situation psychologique de femme-femme (séductrice) ou de femme-mère (nourricière).
La plupart des artistes ont doublement figuré ce double statut du sein et de la femme. Durant sa vie et son oeuvre brèves, Giorgio da Castelfranco a talentueusement célébré le sein érotique de l'énigmatique Laura, dévoilé par son manteau rouge au revers de velours noir, et le sein allaitant que reluque le voyeur étrange de La Tempête.
Au-delà des apparences et fonctions et de leurs binômes beauté/laideur ou érotisme/nutrition, l'essence des innombrables seins de l'art demeure bien inaccessible. A l'homme, à la femme elle-même et évidemment aux artistes, aussi accomplies que soient leurs oeuvres. L'inaccessible du sein procède en effet de cette autre anatomie, éventuellement sans rapport avec la réelle, que je qualifierai de psychique, et selon laquelle chacun(e), sans distinction de sexe ou de technique artistique spécifique, a élaboré sa représentation du sein.
C'est cette anatomie singulière qui a, dans l'Histoire des Arts, généré le gigantesque album des seins, dont le contenu éclaire, sans le résoudre, le mystère.
Si, par définition, tout mystère est insondable, il n'est pas interdit de le scruter.
« Vous avez le droit de savoir » est le slogan de la journée nationale de la prostate qui se déroule le 15 septembre 2009.
Messieurs, si votre petite glande vous tracasse (65 000 nouveaux cas de cancers de la prostate, chaque année, en France., vous pouvez composer le 0821 366 110 (0,15€ la minute) pour poser les questions qui vous titillent sur le sujet.
Mesdames et Messieurs, à propos de titillement, une bonne occasion de se renseigner pour savoir en quoi cette petite glande peut vous (nous) faire du bien
Pour en savoir plus sur la Communauté des Mondes Libertins
Le nombre augmente … mais actifs.
Au point que pour capitaliser sur les contenus (textes, sons, images…) et les ordonner, un site internet a été créé : mondeslibertins.jimdo.com
Réservé aux membres de la Communauté des « Mondes Libertins »
Les nouveautés au 13 septembre 2009
En attendant, parmi les derniers contenus :
La Communauté a connu depuis le 15 août 2009, un léger (très léger) frémissement.
Si tous confirment leur inscription, l’équilibre h, f et cpl, sera respecté.
Pour faire un peut de teasing, voici les sujets auxquels vous échappez en n’étant pas inscrits :
Les sujets sont des plus divers, la communauté est ouverte aux commentaires et à la discussion.
Mais pour retrouver les ressources les plus importantes, un site Internet (tout aussi fermé que le groupe - demander l'adresse et le mot de passe d'accès) est ouvert
Au 29 août
Au 22 août
Ce n’est qu’un début, continuons le….
Pour participer à cette communauté, il est nécessaire d’en faire la demande à libertinlibertaire@gmail.com ou d’être coopté par un des membres.
Soyez curieux et curieuses.
Mot inventé par Marlène Gagnon, propriétaire du club l'Orage International (Canada), à l'automne 2002 et qui désigne une personne vantant les vertus de la pratique échangiste.
L'échangéliste prêche explicitement auprès du public, par petits groupes ou agit comme prédicateur via les journaux, magazines, médias radiophoniques, télévisés ou autres, pour ce style de vie libertin propre aux échangistes.
Je suis un échangéliste et toi ?... et vous ?....
C’est le temps des vendanges
Une femme : que l’on peut planter, cultiver, pour y grapiller tout à son aise, avec les mains – et la queue
Et dans la vigne du seigneur
Travaillant ainsi qu’on peut croire.
La Fontaine
Dictionnaire érotique moderne, Alfred Delvau, 1850
Un « porno » féministe subventionné par des fonds publics sort le 4 septembre 2009 sur les écrans suèdois.
Avec « Dirty Diairies » (« Journaux intimes cochons » (sic)) suite de 12 courts métrages, la documentariste Mia Engberg, souhaite mettre en valeur la vision féminine de la sexualité.
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